Avec l’arrivée des stickers générés par IA au sein de Facebook Messenger, les utilisateurs ont voulu tester les limites de la fonctionnalité. Le problème, c’est que celle-ci n’en a visiblement aucune. Sur X, (Twitter), on a ainsi pu voir émerger des propositions de stickers au mieux étonnantes, au pire très problématiques.

Il arrive que Facebook ait de bonnes idées avec Messenger, comme avec l’intégration récente de la supervision parentale au sein de l’application. Il arrive également que ses nouvelles fonctionnalités soient plus hasardeuses, pour rester poli. Ironie du sort, cette affirmation fonctionne également avec l’intelligence artificielle. Celle-ci peut parfois s’avérer très pratique, voire révolutionnaire, et d’autres fois… assez catastrophique.

Malheureusement, il semblerait que la dernière mise à jour de Messenger ait opté pour la seconde option dans les deux cas, ce qui donne un cocktail pour le moins explosif. Depuis peu, certains utilisateurs peuvent en effet générer des stickers par IA grâce à l’application, leur permettant ainsi de réagir de manière en plus personnalisée aux messages. Le problème, c’est que Facebook n’a fixé aucune limite à l’imagination des utilisateurs. On vous laisse deviner la suite.

Karl Marx avec des seins, c’est possible avec Facebook Messenger

« Je ne pense pas que quiconque impliqué [dans le projet] ait réellement réfléchi à la chose ». On aurait du mal à donner tort à Pioldes, un utilisateur de X (Twitter), au vu des captures d’écran que celui-ci a partagées sur son compte. Ce dernier a en effet voulu tester les limites de l’IA de l’application, en générant notamment Karl Marx avec une poitrine généreuse, ou encore l’arrière-train de Justin Trudeau.

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Si ces créations peuvent prêter à sourire — quoique très limite quand on se rappelle que n’importe qui, même les plus jeunes, peuvent faire exactement la même chose — la plaisanterie vire rapidement au morbide lorsque l’on réalise qu’il est également possible de générer les héros de Mario ainsi que le pape avec un fusil, voire des enfants soldats si l’envie nous prend.

Dans les commentaires de la publication de Pioldes, on est aussi goguenards qu’effarés par cette découverte. Quand certains s’amusent à imaginer Donald Trump embrasser Vladimir Poutine, d’autres prédisent d’ores et déjà un procès intenté contre Meta. Si rien ne change rapidement, cette dernière issue semble très probable.