Le Huawei Mate 30 Pro se dévoile, le mode sombre de Gmail, l’Arcep menace Orange, le récap
Le Huawei Mate 30 Pro n’a plus aucun secret pour nous quelques semaines avant la présentation officielle, Google déploie le mode sombre de Gmail sur Android 10, l’Arcep menace de démanteler Orange…On fait le point sur l’actualité d’hier.
Trop occupé à découvrir les nouveautés du catalogue Netflix (dont l’excellente saison 2 d’Elite) vous n’avez pas trouvé le temps de suivre l’actualité en notre compagnie. Pas de panique chers lecteurs, on vous raconte tout ce que vous avez raté.
Huawei Mate 30 Pro : la fiche technique complète a fuité
Le Mate 30 Pro serait sublimé d’un écran AMOLED FHD+ de 6,6 ou 6,8 pouces. Sans surprise, le smartphone est alimenté par le SoC Kirin 990 couplé à 8 Go de mémoire vive. L’autonomie est confiée à une imposante batterie de 4500 mAh compatible avec la charge rapide 40W. Le Mate 30 se distingue surtout par son quadruple capteur photo arrière composé de deux capteurs de 40 Mp. Pour rappel, Huawei présentera les Mate 30 et Mate 30 Pro le 19 septembre prochain.
Lire : la fiche technique du Huawei Mate 30 Pro
Gmail : le mode sombre débarque sur Android 10, téléchargez l’APK
Google a enfin commencé à déployer le mode sombre dans Gmail. Seuls les utilisateurs sous Android 10 semblent être pour le moment concernés. Pour l’instant, le mode est donc réservé aux Google Pixel. L’option est activée côté serveur. Quand elle est disponible, elle peut être activée dans les Paramètres généraux de Gmail. Un menu Thème apparaît en première position dans les options. Pour en profiter dés maintenant, téléchargez l’APK de Gmail.
Lire : Gmail reçoit enfin le thème sombre sur Android 10
Orange pourrait être coupé en deux, menace l’Arcep
Orange pourrait être forcé à voir ses activités réseau démantelées du reste du groupe, met en garde Sebastien Soriano, président de l’Arcep. Le dirigeant n’a pas apprécié que l’opérateur historique dépose devant le Conseil d’Etat une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) dont le but est de contester le pouvoir de sanction de l’Arcep sur les télécoms.
Selon lui, Orange n’a pas « mesuré toutes les conséquences » de cet acte qui attaque « plus largement le modèle français de la régulation ». Sébastien Soriano explique que si le pouvoir de l’Arcep disparaissait, ce serait aussi une mauvaise nouvelle pour Orange, puisque l’Etat n’aurait d’autre choix que d’adopter une régulation plus virulente. Le responsable prend l’exemple de l’opérateur britannique BT que les « Anglais ont décidé de couper en deux », avec d’un côté Openreach pour les infrastructures réseaux et BT de l’autre pour l’exploitation.
Lire : Orange pourrait finir coupé en deux selon l’Arcep