Mark Zuckerberg : le fondateur de Facebook se verrait bien Président des Etats-Unis en 2020
C'est loin d'être neuf, le richissime fondateur de Facebook, le célèbre Mark Zuckerberg, veut sauver le monde. Déjà en février dernier, le CEO affirmait sans détour vouloir “créer une communauté mondiale” autour de son emblématique réseau social. Entres ambitions humanitaires démesurées et ambitions présidentielles, la frontière est parfois bien mince.
Après le cow-boy et acteur Ronald Reagan et après le présentateur d'émissions de télé-réalité Donald Trump, le prochain président des USA dénué d'un bagage politique classique sera-t-il un génie de la technologie ? Selon la rumeur, l'un des PDG les plus appréciés par ses employés ambitionne plus que sérieusement de déménager à la Maison Blanche. Et ce, dès 2020. Pourquoi n'est-ce pas si fou ?
Zuckerberg 2020, une étape finale évidente ?
Le milliardaire de 33 ans n'a jamais fait grand secret de ses aspirations philanthropiques. Pour Zuckerberg, son Facebook n'est qu'un outil comme un autre qui lui permettra de rendre l'humanité meilleure. Son leitmotiv ?
Comment avoir le meilleur impact possible sur le monde ?
Les actions philanthropiques de Zuckerberg et de son épouse n'en finissent plus d'alimenter la presse. Entre donations faramineuses, levée de fonds, actions caritatives, il est bien normal que la cote de popularité du CEO ne cesse de décoller.
Véritable chevalier des temps modernes, Zuckerberg a à coeur d'utiliser le pouvoir et l'influence de Facebook pour lutter contre les pires fléaux de l'humanité. Loin du génie égoïste qu'il aurait pu devenir, Zuckerberg mène une véritable croisade contre le suicide chez les jeunes et contre les fake news.
Mais c'est plus récemment que les bruits de couloir autour de sa prétendue ambition présidentielle se sont complètements déchaînés. Début 2017, il annonce fièrement vouloir visiter la totalité des états américains afin d'y rencontrer ses habitants. Un tour du pays qui a des allures de pré-campagne électorale, non ?
Officiellement, le jeune homme nie encore toute ambition politique malgré sa rencontre présumée avec le directeur de campagne d'Hilary Clinton et malgré ses prises de position politique de plus en plus affirmées et médiatisées, et ce depuis l'élection en novembre dernier de Donald Trump. Le CEO a notamment condamné avec fermeté le muslim ban, mesure phare de l'administration Trump.
Passé maître dans l'art périlleux de la communication et très à l'écoute de son électorat potentiel, Zuckerberg serait un adversaire de taille pour un Donald Trump plus proche de la destitution que jamais. Tremble Donald, tremble. Alors Zuckerberg dans le bureau ovale, vous y croyez vous ?