La majeure partie de la population mondiale est désormais connectée aux réseaux mobiles. Plus de 5 milliards d’individus sont concernés comme le rapporte la GSMA Intelligence, branche spécialisée dans le domaine et en charge de la représentation des opérateurs de téléphonie mobile à travers le monde. Celle-ci nous apporte davantage de précisions sur cet immense cap qui vient d’être franchi.

Depuis plusieurs années maintenant et grâce notamment au développement des nouvelles technologies, les objets connectés font partie intégrante de notre quotidien. Il est même devenu difficile de s’en détacher tant ils sont utilisés à tout moment de la journée, que ce soit au travail ou à domicile.

Les smartphones sont les produits qui figurent très certainement en pôle position. Pour le plus grand bonheur des opérateurs de téléphonie mobile, qui viennent aujourd’hui de franchir un nouveau cap en matière du nombre d’abonnés.

Plus de 5 milliards d’individus sont abonnés à des opérateurs mobiles

Incluant très certainement dans son bilan les opérateurs français phares que sont Orange, Bouygues Telecom, Free et SFR, la GSMA Intelligence a annoncé récemment que plus de 5 milliards de personnes sont abonnées à des opérateurs mobiles. Ce qui représente près des deux tiers de la population mondiale. Énorme !

C’est le cas de le dire puisque c’est un véritable cap qui vient d’être franchi et qui « reflète les milliards de dollars investis par les opérateurs mobiles dans les réseaux, les services et pour les spectres pendant plusieurs années », comme l’a déclaré Mats Granryd, directeur général de GSMA.

Parmi ces 5 milliards justement, 9% sont issus de l’Europe soit un total d'environ 465 millions de personnes. Un chiffre plus que correct comparé aux autres régions du monde, même si cela reste hyper maigre par rapport à l’Asie-Pacifique qui totalise près de 2,7 milliards à elle seule. A noter par ailleurs que d’ici 2020, près de 5,7 milliards d’usagers seront connectés à des réseaux mobiles, dont 30% de nouveaux abonnés seront indiens.

En définitive, le constat est une fois de plus sans appel. Le monde d’aujourd’hui est hyper-connecté et il le sera encore plus dans les années à venir. Pas sûr en revanche que cela soit au goût des personnes vivant sans technologie, mais comme on dit : il faut de tout pour faire un monde.