Test Apple Watch Series 10 : enfin une smartwatch intelligente ET endurante ?
- Le design affiné et plus en rondeur
- L'écran plus grand encore
- L'autonomie en hausse
- watchOS 11, ses appliations et son écosystème
- La complétude des capteurs biométriques
- Le prix qui n'augmente pas
- La compatibilité avec les anciens bracelets
- L'intégration dans l'écosystème Apple
- L'incompatibilité avec Android
- L'autonomie qui ne dépasse pas les 2 jours sans faire de compromis
- La charge un peu lente
Pour la dixième génération de sa montre connectée, Apple s’est concentré sur les deux principaux problèmes remontés par les utilisateurs : la taille d’écran et l’endurance. Résultat, l’Apple Watch Series 10 profite d’un affichage agrandi et d’une batterie renforcée. Mais est-ce bien suffisant pour gommer ces limitations historiques ? Réponse dans ce test complet.
Il existe globalement deux types de montre ou bracelet connecté. D’un côté, vous avez l’accessoire qui fonctionne sur un système d’exploitation propriétaire et généralement fermé. C’est le cas d’une Redmi Watch 4 chez Xiaomi, par exemple. Elle fonctionne sur HyperOS. De l’autre, vous avez un accessoire avec un système d’exploitation plus complexe, ouvert, mais très gourmand. C’est le cas de wearOS, que vous retrouvez dans la Pixel Watch 3.
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Les Apple Watch ont toujours fait partie de la seconde catégorie. watchOS est un système d’exploitation complet sur lequel les développeurs peuvent s’appuyer pour offrir des interactions qui enrichissent l’expérience. Mais il y a un sérieux problème : l’autonomie. Les montres connectées avec ce type de système d’exploitation ne tiennent pas plus de 2 jours. Que ce soit les Galaxy Watch, les Oppo Watch, les Pixel Watch… et les Apple Watch.
Pour compenser ce problème, Apple (mais aussi Samsung) a augmenté la taille des boitiers pour offrir plus de place à la batterie. Ce qui a donné la Galaxy Watch Ultra ou l’Apple Watch Ultra. Et on atteint… 3 jours. 50 % de plus, c’est déjà ça. Mais peut-on offrir la même chose dans un format plus traditionnel ? C’est ce que nous découvrir dans ce test de l’Apple Watch Series 10, dernière montre connectée de la firme de Cupertino.
Prix et disponibilité
Le prix de l’Apple Watch Series 10 démarre à 449 euros dans sa version la plus simple. Ce prix n’a pas augmenté par rapport à celui de l’Apple Watch Series 9. Elle se décline en deux modèles, une version avec boitier en aluminium et une version avec boitier en titane. Chacune des deux déclinaisons dispose de deux tailles de boitier (42 et 46 mm). Une trentaine d’euros séparent les deux tailles pour la version aluminium et il faut débourser une cinquantaine d’euros pour obtenir la plus grande version du boitier titane. Voici les prix de départ des deux versions par taille :
- Apple Watch Series 10 aluminium 42 mm : 449 euros
- Apple Watch Series 10 aluminium 46 mm. :479 euros
- Apple Watch Series 10 titane 42 mm : 799 euros
- Apple Watch Series 10 titane 46 mm : 849 euros
La version en aluminium se décline également en deux configurations : avec ou sans connexion 5G, la version titane étant obligatoirement 5G. Cette option coûte 120 euros. L’Apple Watch est bien sûr vendue avec un bracelet. Pour la version aluminium, vous avez le choix entre un modèle en caoutchouc (3 déclinaisons possibles), un modèle en textile (4 déclinaisons, dont celui de notre unité de test) ou un modèle en acier inoxydable. Attention, certains bracelets vont alourdir la facture.
Dans le catalogue d’Apple, l’Apple Watch Series 10 se positionne assez logiquement entre l’Apple Watch SE 2e génération (à partir de 249 euros) et l’Apple Watch Ultra 2 (à partir de 899 euros). Les principales concurrentes de l’Apple Watch Series 10 sont la Pixel Watch 3 de Google, la Galaxy Watch 7 de Samsung, la Huawei Watch GT 5 Pro de Huawei. Tous ces modèles ont un prix de départ compris entre 300 et 500 euros. La proposition d’Apple est cependant la plus chère.
L’Apple Watch Series 10 a été présenté le 9 septembre 2024, en même temps que les iPhone 16. Elle est disponible en France depuis le 20 septembre 2024, après une semaine de précommande. Il y a trois coloris pour chaque version : noir, or et rose pour la version aluminium ; ardoise, or et naturel pour la version titane. Dans la boite, vous retrouvez un seul accessoire : un câble de charge USB-C avec un système magnétique propriétaire. Ce câble est renforcé en nylon.
Design
Démarrons ce test en faisant le tour du propriétaire. Comme nous l’avons signalé dans la partie « prix » de ce test, l’Apple Watch Series 10 (ou X) se décline toujours en deux tailles. Mais ce ne sont pas les mêmes tailles que précédemment. Le petit boitier mesure 42 mm et le grand boitier 46 mm. C’est un millimètre de plus dans les deux cas, tout simplement. Cette augmentation a bien sûr plusieurs incidences sur la batterie et l’écran.
Petit détail amusant : le boitier de la petite version de l’Apple Watch Series 10 est aussi large que celui de la grande version de la première Apple Watch. C’est dire à quel point les montres connectées de la marque ont grandi en 10 ans. Naturellement, la grande Apple Watch Series 10 n’égale pas l’Apple Watch Ultra 2 avec son boitier 49 mm.
Les boitiers de l’Apple Watch Series 10 gagnent donc un millimètre en largeur, mais aussi en longueur. En revanche, ils perdent un millimètre en épaisseur. Ça a l’air de rien, dit comme ça. Mais une fois au poignet, cela n’est pas anodin. Et l’impression de finesse est renforcée par l’augmentation des autres dimensions, comme si la montre avait été aplatie…
En outre, l’Apple Watch Series 10 est plus légère. La version aluminium que nous testons perd quelques grammes par rapport au modèle précédent. Mais cette cure d’amincissement est moins impressionnante que le passage de la version acier inoxydable de la série 9, remplacée par la version titane de la série 10. Cette dernière est 10 grammes plus légère, soit 20 % du poids en moins. C’est assez impressionnant.
Sur les tranches, il y a également un petit changement à noter : le haut-parleur a été remplacé, ce que suggère la modification du design de l’ouverture. Résultat : le son est de meilleure qualité lors des appels audio et des interactions avec Siri. En outre, il est maintenant possible d’écouter de la musique directement avec le haut-parleur de la montre. Le microphone est toujours placé à son opposé, entre le bouton et la couronne digitale. Il est maintenant pourvu d’un système de réduction de bruit pour les appels. Le système d’accroche ne change pas : vos anciens bracelets restent compatibles.
À l’arrière, vous retrouvez le capteur biométrique déjà présent l’année précédente, protégé par du saphir synthétique. À l’avant, nous retrouvons un bel et grand écran rectangulaire. Première conséquence de l’augmentation de la taille du boitier, l’écran grandit aussi. La dalle passe de 1,69 pouce et 1,9 pouce à 1,77 pouce et 1,96 pouce. Les bordures autour de l’écran sont affinées. Et le verre de protection de l’écran est mieux intégré avec le boitier métallique. Bien sûr, l’Apple Watch reste étanche (IP68) et capable de descendre jusqu’à 50 mètres de profondeur.
Écran
Restons en façade de la montre et étudions plus en avant l’écran. C’est la troisième fois qu’Apple augmente la taille des boitiers de l’Apple Watch « standard ». La première fois fut avec la série 4 et la deuxième fois avec la série 7. Et chaque augmentation de taille améliore les usages déjà proposés précédemment. Répondre à des messages directement depuis la montre. Afficher les images reçues par messagerie. Visualiser un trajet sur Plans. Etc. La lisibilité des informations était déjà bonne. Elle l’est plus encore avec cette dixième génération.
La nature de l’écran a légèrement changé en un an. Il s’agit toujours d’une dalle OLED, avec les mêmes taux de contraste infinis. Il s’agit aussi d’un écran dit « Retina ». Comprenez que la résolution de la dalle ne change pas : 326 pixels par pouce. Pour cela, Apple a augmenté la définition de l’écran de façon proportionnelle, pour un résultat visuel qui n’est pas meilleur en termes de grain. Mais nous préférons cela à une baisse de l’autonomie.
L’écran de l’Apple Watch Series 10 est LTPO, mais pas la même génération que l’Apple Watch Series 9 ou l’Apple Watch Ultra 2. Il s’agit d’une dalle LTPO 3. Et c’est la première fois qu’une Apple Watch en profite. Cet écran a plusieurs avantages. D’abord, il permet à la montre connectée de faire varier son taux de rafraichissement plus intelligemment (de 1 Hz à 120 Hz). Ainsi, l’option Always-On consomme moins d’énergie.
Ensuite, cet écran est « OLED grand-angle ». Auparavant, la luminosité baissait drastiquement quand vous regardiez la montre de côté. Maintenant c’est moins le cas. Apple annonce jusqu’à 40 % de lumière en plus. À l’usage, cela ne se remarque presque pas. Toujours concernant la luminosité, cet écran monte officiellement jusqu’à 2000 nits localement en extérieur et descend jusqu’à 1 nit dans le noir total. Les Apple Watch Series 9 et Ultra 2 en sont également capables.
À l’usage, nous sommes ravis de l’agrandissement de l’affichage, pour offrir plus de confort que les montres précédentes. Et nous remarquons les efforts déployés par Apple pour réduire la consommation d’énergie de l’affichage. Nous verrons si cela impacte vraiment l’autonomie.
Biométrie et interactivité
Étudions maintenant les capteurs intégrés à l’Apple Watch Series 10. Les nouveautés sont plutôt rares dans ce domaine. Et elles concernent principalement les sports aquatiques. En effet, l’Apple Watch Series 10 intègre deux nouvelles fonctions : la température de l’eau et une jauge de profondeur (appelé profondimètre) qui va jusqu’à 10 mètres. Nous n’avons pas eu l’opportunité d’essayer le second, mais le premier fonctionne relativement bien.
Nous retrouvons bien évidemment le fameux capteur optique dorsal qui sert à mesurer la fréquence cardiaque, le taux d’oxygène dans le sang et la température corporelle. Ce module biométrique semble toujours proposer des mesures précises. Par défaut, le cardiofréquencemètre fonctionne toute la journée (et toute la nuit si vous activez le suivi du sommeil). Mais vous pouvez également paramétrer la fréquence pour économiser de la batterie.
La Watch Series 10 dispose bien évidemment d’un électrocardiogramme, comme toutes les Apple Watch depuis la Series 4. L’utilisation de ce capteur reste identique et rapide. Côté capteurs environnementaux, vous retrouvez la brochette habituelle : accéléromètre, gyroscope, altimètre ou encore compas. Comme la Watch Ultra 2, la Watch Series 10 est pourvue d’un capteur de profondeur. Il mesure la pression jusqu’à 6 mètres (contre 40 mètres pour sa grande sœur). Le thermomètre peut également mesurer la température de l’eau pour les nageurs.
Si tous ces capteurs servent avant tout à mesurer les efforts physiques dans les séances sportives et à détecter des problèmes au quotidien, ils servent également à un usage quotidien, comme « double tap » : tapotez deux fois votre pouce avec votre index pour afficher les widgets. C’est ultra pratique quand vous avez l’autre main prise.
N’oublions pas non plus le capteur GPS pour la géolocalisation, le capteur NFC pour les paiements sans contact, ou encore le capteur UWB2, qui sert notamment à remplacer des clés de voiture par la montre. Pour se connecter à la montre ou à Internet, la montre dispose d’un capteur Bluetooth 5.3 et d’un modem WiFi n dual band. L’ensemble de ces capteurs biométriques et environnementaux sont pilotés par un nouveau SoC appelé Apple S10. Il s’agit d’une déclinaison du S9 de 2023, avec toujours deux cœurs pour le CPU et quatre cœurs pour le NPU. Les performances sont identiques, mais le SoC est plus fin.
Comme tous les produits Apple, la Watch Series 10 est parfaitement intégrée dans l’écosystème de la marque. Il est inutile de manipuler les autorisations afin que les notifications apparaissent sur la montre. Inutile non plus d’effectuer des manipulations pour renseigner un mot de passe WiFi. Connecter la montre à un iPhone pour prendre une photo à distance. Utiliser la montre comme clavier virtuel d’une Apple TV ou comme appareil de confiance pour déverrouiller un MacBook ou un iPhone. La Watch Series 10 est également la première montre d’Apple à pouvoir stocker vos playlists en provenance d’Apple Music et se passer d’iPhone ou de connexion réseau pour la jouer. C’est pratique.
Interface
Une fois la montre allumée, vous arrivez sur watchOS 11, la dernière version du système d’exploitation dédiée aux montres connectées d’Apple. Les différents écrans de l’OS n’ont pas fondamentalement changé depuis la version 10. Vous retrouvez toujours la watchface personnalisable autour de laquelle s’organisent les différents écrans de watchOS : le tiroir d’application, le volet de paramétrage rapide, le volet des notifications et le volet des widgets.
Comme wearOS, watchOS est un système d’exploitation complet et ouvert. Il permet de faire tourner des applications installées par défaut dans la montre, mais également d’en installer d’autres pour enrichir l’expérience. Il s’agit là de son principal atout, mais aussi son défaut majeur : proposer un système d’exploitation complet est gourmand en énergie. Nous en reparlerons dans la partie « batterie » de ce test.
Seulement, avec watchOS 11, les habitudes ont été bousculées : la gestuelle pour accéder au volet des widgets et au volet de réglage rapide a été inversée. Il faut donc désormais glisser vers le haut pour accéder au premier et appuyer sur le bouton latéral pour ouvrir le second. Un changement qui n’aura aucune incidence si vous n’avez jamais eu d’Apple Watch, mais qui va contrarier les actuels propriétaires.
Qui dit nouvelle Apple Watch dit aussi nouvelles watchfaces. L’Apple Watch Series 10 est accompagnée de trois nouveaux cadrans tirant parti de la taille de son écran. Le premier réalise un montage avec une photo de votre bibliothèque. Il intègre deux complications optionnelles. Le deuxième s’appelle Reflets et il est analogique. Il utilise l’accéléromètre pour changer les reflets affichés à l’écran. Le dernier s’appelle Fluctuation. Ce cadran numérique utilise une police de caractère qui change chaque minute. Pour chaque cadran, vous avez diverses options de personnalisation.
La nouvelle version de watchOS inclut plusieurs nouveautés, dont certaines seront disponibles sur les autres montres d’Apple. C’est le cas de la traduction bilatérale, les statistiques approfondies sur les signes vitaux, ou encore la pause pendant les exercices physiques. Malgré ces quelques nouveautés, les habitués ne seront pas dépaysés.
Application pour smartphone
Comme pour toute autre montre connectée, l’Apple Watch Series 10 doit être associée à un téléphone compagnon pour être activée. Pied de nez à tous les utilisateurs d’Android, cette association n’est possible qu’avec un iPhone. Si vous n’en avez pas, il est donc temps de passer votre chemin. Notez que cette limitation n’est pas exclusive à ce modèle : toutes les montres de la firme américaine ne sont compatibles qu’avec l’iPhone. Officiellement, Apple veut assurer la protection des données sensibles liées à la santé de l’utilisateur.
La gestion de l’Apple Watch Series 10 passe, comme pour toutes les montres connectées de la marque, par l’application « Watch », disponible par défaut dans iOS. Si vous l’avez supprimée, pas de panique : un petit tour sur l’AppStore suffit pour la récupérer à nouveau. L’avantage de cette application est son intégration dans iOS et sa connexion avec d’autres outils, notamment « Santé ». « Pour compléter ce triumvirat, vous avez « Forme » pour enregistrer des séances de sport.
L’application Watch reste le centre névralgique de la gestion de l’Apple Watch. Depuis celle-ci, vous pouvez régler les différents paramètres de la montre, mettre à jour watchOS, activer une eSIM, installer des applications et des cadrans, ainsi que changer les réglages de toutes les applis installées. Watch est le passage obligé pour activer une Apple Watch. Son usage n’a pas changé, même si son interface a progressivement évolué.
Batterie
Terminons ce test par un sujet sensible des Apple Watch : l’autonomie. Nous avons vu, tout au long de ce test, qu’Apple a œuvré pour améliorer l’autonomie de la montre sans pour autant devoir faire de concession sur les fonctionnalités quotidiennes. Ces efforts touchent principalement l’écran, mais ce n’est pas le seul élément, puisque la batterie est également concernée. Malgré un design plus fin, l’Apple Watch Series 10 profite d’une capacité de batterie plus élevée : 327 mAh contre 308 mAh.
Officiellement, l’Apple Watch Series 10 offre une autonomie équivalente à celle de l’Apple Watch Series 9. Soit 18 heures en continu avec toutes les options activées et 36 heures avec l’économie d’énergie. Mais il faut contrebalancer cela. En usage standard, nous avons relevé une autonomie qui tend vers les 2 jours, avec les options par défaut, 30 minutes de sport par jour, le suivi cardiaque « permanent » (comprenez toutes les 10 minutes) et le suivi du sommeil. Et à la fin de la seconde journée, vous devrez passer par la case recharge pour ne pas voir la montre s’arrêter en plein milieu de la nuit.
Vous pouvez atteindre 48 heures d’utilisation continue. Mais il faut sacrifier certaines options. L’Always-On. La détection automatique de l’activité physique. Le suivi du sommeil. Il faut aussi réduire la fréquence des relevés biométriques. Dans ces conditions, la montre reste parfaitement exploitable. Et quand elle est très fatiguée, il suffit d’utiliser le câble livré avec la montre pour la recharger. Bien sûr, pas de prise murale dans l’emballage. Nous avons utilisé un iPhone et un MacBook pour la recharge. Et nos mesures montrent que l’Apple Watch Series 10 se recharge en 83 minutes de 0 à 100 %. Voici nos mesures intermédiaires :
- 15 mn : 23 %
- 30 mn : 51 %
- 60 mn : 82 %
- 75 mn : 97 %
Alors, on achète ?
L’Apple Watch Series 10, comme les modèles précédents, est un must-have pour tous les propriétaires d’iPhone qui cherchent une montre connectée complète, évolutive et personnalisable. Face à l’Apple Watch SE, la Watch Series 10 est plus fournie et plus moderne. Face à l’Apple Watch Ultra 2, elle est plus fine, tout en offrant un écran tout aussi grand. Certes, elle n'est pas parfaite : elle est plus chère que l’Apple Watch SE et moins endurante que l’Apple Watch Ultra 2. Si bien que la Series 10 est clairement le bon compromis. Nous préférons largement la nouvelle version 46 mm, car elle offre une belle surface d’écran, plus pratique pour écrire et lire les messages.
L'Apple Watch Series 10 combine le design sobre et élégant de ses prédécesseurs directs avec le confort visuel de l'Apple Watch Ultra. Toujours très interactive et pratique, elle profite de cette dalle conséquente pour améliorer l'affichage des applications courantes. Comme attendu, l'autonomie réelle augmente, mais pas suffisamment pour rattraper l'Apple Watch Ultra, qui reste meilleure dans ce domaine. Mais le compromis autonomie / encombrement est quand même à l'avantage de l'Apple Watch Series 10.
- Le design affiné et plus en rondeur
- L'écran plus grand encore
- L'autonomie en hausse
- watchOS 11, ses appliations et son écosystème
- La complétude des capteurs biométriques
- Le prix qui n'augmente pas
- La compatibilité avec les anciens bracelets
- L'intégration dans l'écosystème Apple
- L'incompatibilité avec Android
- L'autonomie qui ne dépasse pas les 2 jours sans faire de compromis
- La charge un peu lente