Test Dreame L20 Ultra : le Monsieur Plus des aspirateurs connectés

Notre avis

Dreame entend proposer avec son L20 Ultra tout simplement ce qui se fait de mieux aujourd’hui en matière de robot-aspirateur. Au programme des caractéristiques techniques alléchantes et des innovations fortes pour un produit qui fait d’ores et déjà beaucoup parler de lui.

Test réalisé par Emmanuel Armanet

Le moins que l’on puisse dire est que Dreame avance à une vitesse impressionnante. La marque chinoise affole les compteurs, car il faut rappeler qu’elle est née en 2017 et qu’elle n’a lancé sur le marché son premier robot-aspirateur qu’en janvier 2022 ! Une histoire toute récente même s’il convient d’avoir en tête que ses concurrents venus de l’Empire du Milieu ne sont pas non plus véritablement des dinosaures, puisque Roborock a été créé en 2014 et Ecovacs en 1998. Pour mettre ces dates en perspective, sachez qu’Hoover a vu le jour en 1908…

Bref, Dreame brûle les étapes et se positionne d’emblée comme un acteur majeur grâce à sa capacité d’innovation. Une capacité particulièrement perceptible sur son nouveau fer de lance, le Dreame L20 Ultra.

Disponibilité

Le Dreame L20 Ultra est d’ores et déjà disponible en deux versions :

La différence ? La version Complete est livrée avec un kit d’accessoires supplémentaires : une brosse principale, des brosses latérales, trois filtres, trois sacs à poussière, six paires de serpillères et trois flacons de détergent. De quoi a priori tenir bon une année entière. Du point de vue économique, si votre budget le permet, optez pour le modèle Complete, qui se révèle plus intéressant au final. Sur le site de la marque ou sur Amazon par exemple, ces consommables sont déjà commercialisés, pour la plupart. Il faut compter 15,99 € pour un bidon de 450 ml de détergent spécifique ou encore 79 € pour un pack d’accessoires comprenant trois paires de serpillères, une brosse centrale, deux brosses latérales et deux filtres.

Pour notre test, la marque nous a envoyé la version classique du robot-aspirateur.

Un beau bébé

Le premier contact se fait avec le produit encore dans son carton et là, la première impression concerne principalement “notre dos”. C’est lourd, très lourd même, puisque l’ensemble dépasse les 25 kg. N’hésitez pas à vous faire aider, notamment pour le déballage.

Le robot proprement dit dispose d'un design plutôt classique, avec sa forme circulaire et sa partie supérieure surmontée d’une tourelle dans laquelle prend place le LIDAR, le radar laser utilisé pour la navigation. On note que celui-ci n’est pas monté de manière totalement fixe : on peut l’enfoncer sur quelques millimètres avec le doigt. Si l'on trouve essentiellement du plastique blanc, la tourelle adopte elle une finition champagne, une attention certainement pensée pour apporter une touche classieuse. Après, les goûts et les couleurs…

L’ensemble pèse 4,3 kg. L'appareil mesure 350 x 350 mm, comme le Roborock S8 Ultra, mais il se montre un petit plus haut que celui-ci : 103,8 mm contre 96,5 mm, une différence sensible qui peut faire que le L20 Ultra ne passera pas sous certains meubles, alors que son concurrent, si.

La partie supérieure affiche trois boutons pour lancer (ou stopper) le nettoyage normal ou un nettoyage localisé et renvoyer le robot-aspirateur dans ses pénates, autrement dit sa station. Un panneau en plastique tenant grâce à plusieurs aimants s’enlève pour dévoiler tout d’abord le bac à poussière affichant un volume de 350 ml contre 400 ml pour le Roborock S8 Ultra. Une capacité largement suffisante à nos yeux en raison de la présence d’une station complète. Toujours sous le panneau, on trouve une LED indiquant l’état de la connexion Wi-Fi et un bouton Reset qui s’utilise avec une pointe de stylo par exemple. Rien de très original, donc.

Les flancs de Dreame L20 Ultra présente tout d’abord sur l’avant une autre partie importante du système de navigation et d’évitement des obstacles. Il s’agit d’une caméra entourée de deux puissantes LEDs, les informations recueillies étant traitées par l’IA : c’est le système AI Action que la marque présente comme ultra efficace. Ce dispositif prend place dans un bumper, une sorte de pare-chocs qui va le protéger des chocs éventuels contre les meubles et les murs.

En retournant l’appareil, on distingue les capteurs de chutes et le système de propulsion avec de roues motrices généreusement cramponnées et une petite roue multidirectionnelle à l’avant. La marque opte comme Roborock pour une seule brosse latérale. Celle-ci dotée de longs poils en nylon se monte en revanche sans outil. La brosse centrale est entièrement en caoutchouc, mais elle propose deux hauteurs de lamelles souples afin de s’adapter au mieux à la nature du sol. Elle peut s’enlever en un tour de main pour son entretien. À l’arrière, on trouve les deux pads serpillères aimantés sur lesquels nous reviendrons, car ils ne sont pas tout à fait comme les autres… Encore un peu de suspens.

 

Des caractéristiques au-dessus du lot

Dreame a décidément voulu frapper très fort avec son L20 Ultra. Commençons par l’aspiration. La marque annonce une puissance de 7000 Pa soit pas moins de 1000 Pa de plus que les meilleurs concurrents de son porte-étendard comme la série S8 de Roborock qui affiche 6000 Pa. Nous avons donc hâte de voir comme ce chiffre impressionnant se traduira en pratique, car l’efficacité de l’aspiration ne dépend pas que de lui. Entre aussi en ligne de compte le système de guidage, la conception de la brosse centrale…

Autre élément où le L20 Ultra surclasse les autres robot-aspirateurs, sa batterie affiche une capacité de 6400 mAh contre 5200 mAh pour la plupart de ses concurrents. Dreame évoque une autonomie de 260 minutes en aspiration ou en lavage uniquement en mode silencieux ou encore 180 minutes en combinant, toujours en mode silencieux, lavage et aspiration. La recharge rapide débarque aussi avec un temps de charge présenté comme 30 % plus rapide que la moyenne.

Pour le lavage, nous n’avons pas trouvé d’indication quant à la vitesse de rotation des deux pads qui comme toujours tournent dans le sens opposé l’un de l’autre. Mais celui de droite présente une particularité unique : c’est la technologie MopExtend. Elle va permettre d’excentrer le Pad pour que celui-ci vienne lécher une plinthe ou le bord d’un meuble afin de nettoyer un maximum de surface. Si la pièce comporte des tapis, les deux serpillères peuvent automatiquement se relever d’une dizaine de millimètres pour ne pas les salir. C’est très bien, mais le L20 Ultra peut faire encore mieux, notamment si vous avez des tapis à poil long ou si toute la pièce dans laquelle il évolue est moquettée. Il va tout simplement être capable de laisser les deux pads circulaires à la station pour évoluer sans : parfait pour uniquement aspirer. Là aussi, c’est une fonction que nous n’avons jamais croisée auparavant. Bien entendu, les serpillères reviendront en place automatiquement en cas de besoins. Magique, non ?

Une station imposante

La station est réellement imposante (606,5 x 426 x 499 mm). Pensez à prendre en compte cet élément si vous envisagez de craquer pour le Dreame L20 Ultra. Mais le plus étonnant à nos yeux est son poids : 13,3 kg à vide. Une masse conséquente pour un produit a priori essentiellement en plastique. Nous pensons que la marque chinoise a lesté cette station pour en parfaire la stabilité et l’empêcher peut-être de reculer lorsque le robot se met en place.

Son organisation semble plutôt classique. Nous trouvons tout d’abord la zone d’accueil de l’appareil. Le robot va en premier lieu pouvoir se recharger. Il pourra aussi déposer et/ou laver les deux pads. Les deux patins tournent rapidement sur une zone dotée de petits picots. La station va ensuite les sécher avec un air chaud dépassant les 50°.

Le robot en profite pour vider son bac à poussières. La station dissimule derrière un capot en plastique couleur champagne un sac affichant un volume conséquent soit 3,2 litres. Deux petites particularités. Un emplacement est prévu pour un sac de remplacement plié (qui est d’ailleurs en place à la réception de la machine) et pour ouvrer le capot il faut manipuler un bouton dont l’accès n’est pas évident à trouver. Nous avons un peu de mal à y voir un intérêt, mais bon…

L’étage au-dessus est accessible par un autre capot qui s’ouvre lui sans effort. On y découvre à gauche et à droite respectivement les réservoirs d’eau sale et d’eau d’une capacité respective de 4 et 4,5 litres. Au centre, un troisième compartiment prend place, sous un petit capot. Il s’agit de l’espace dans lequel vous pouvez glisser le détergent. Celui-ci est dans un contenant spécifique, vendu uniquement par Dreame et qui est formulé pour laver tous les types de sol sans rinçage. Le système gère automatiquement le volume de produit nécessaire.

Un petit espace prend place pour une petite brosse de nettoyage fournie avec l’appareil. Décidément, la marque va très loin dans la volonté de rendre sa solution de nettoyage indépendante durant de longues semaines. L’idée est de vous éviter le plus longtemps possible d’intervenir, jusqu’à 75 jours selon Dreame, mais bien entendu tout cela dépendra de l’intensité de votre utilisation. Notons que la station dispose d’un petit panneau de commandes LED pour lancer le passage du robot, d’activer le séchage de la serpillère ou de faire revenir l’appareil à sa base. À l’arrière, la longueur du câble détachable peut être ajustée.

Installation : du classique

Voici certainement l'un des robots-aspirateurs les plus innovants croisés ces derniers mois et nous avions plutôt hâte de le mettre à l’épreuve. Première étape de l’installation : ôter les mousses de transports et les films plastiques de protection. Ensuite, nous mettons en place les deux pads serpillères puis la brosse latérale avant de trouver une place pour l’imposante station. Le sac est déjà en place, mais pas le détergent. Son installation n’a rien de compliqué, il faut simplement penser à bien enlever les pastilles empêchant le liquide de s’écouler. Une fois le réservoir d’eau propre rempli, nous plaçons le robot sur sa station et nous basculons sur l’incontournable application.

Nommée Dreamehome, elle permet d’effectuer une première configuration en quelques clics. Le smartphone va se connecter au robot via le Wi-Fi direct pour que l’utilisateur puisse lui donner les paramètres du réseau sans-fil de la maison. Sans surprise, nous n’échappons pas à une mise à jour du firmware de l’appareil et nous fouillons quelques minutes – c’est la première fois que nous utilisons cette application – pour trouver le menu faisant en sorte de faire parler le robot en Français.

Une application riche et pratique

L’application bénéficie d’une interface assez claire, bien que nous ayons relevé quelques pans de celle-ci qui n’ont pas été traduits dans la langue de Molière. Si elle apparaît simple de prime abord, elle cache en réalité bien son jeu, car elle regorge de fonctionnalités et de possibilités de réglage pour que le L20 Ultra agisse précisément comme bon vous semble. Difficile donc d’être exhaustif. On retrouve toute ce qui est désormais courant sur un appareil haut de gamme : programmation du lancement du robot-aspirateur, compatibilité avec les assistants vocaux, suivi en temps réel de la durée de vie des consommables, télécommande… Il ne manque que la possibilité de recharge durant des heures programmées, afin de profiter du tarif d’électricité en heures creuses.

Attardons donc sur ses particularités. Dreame propose deux modes intelligents : CleanGenius Quotidien et CleanGenius Ultime. Venant en sus d’une utilisation totalement personnalisée, ces deux modes ont été pensés pour un nettoyage classique effectué chaque jour dans un environnement peu sale pour le premier, et au contraire pour obtenir un rendu impeccable avec un sol un peu plus sale que la normale pour le second. Parfait, par exemple, pour effacer les stigmates d’une soirée.

Le comportement face à un tapis ou une zone moquettée est lui aussi plutôt pointu. Le robot peut les éviter, relever ses pads serpillères pour les aspirer sans risquer de les humidifier ou revenir à la station, retirer ses deux tampons pour revenir aspirer le tapis. L’intérêt, au-delà du côté geek, semble surtout se faire sentir pour des tapis épais. Le L20 Ultra peut également passer en mode boost sur les tapis qu’il aspirera alors à sa puissance maximale. De nombreux capteurs semblent présents pour par exemple détecter le niveau d’encrassement des serpillères. Le robot peut, si vous avez activé cette fonction, revenir les nettoyer automatiquement à la station avant le temps appliqué par défaut (10 minutes en l’occurrence ou 15 minutes selon votre choix).

La caméra intégrée à l’avant de l’appareil est un petit plus qui donne le sourire plus qu’il est réellement utile à nos yeux. Mais cela produit toujours son effet surtout si l’on peut capturer la réaction d’un gros toutou apeuré par l’aspirateur. Il est possible de voir quel est l’objet qui pose souci au système de navigation.

Il prend son temps

Comme de coutume, le premier lancement correspond à l’établissement de la carte par l’appareil, les paramètres de lavage et d’aspiration demeurant par défaut. C’est donc l’heure de lancer dans notre arène habituelle (un couloir et une entrée totalisant une surface totale de 22 m2 avec des tapis très cours, des meubles et quelques pièges) le Dreame L20 Ultra. Le comportement du robot-aspirateur paraît étrange, erratique même… Il semble rapidement le tour de la première pièce avant de partir faire de même dans la seconde partie de l’espace de test pour revenir ensuite effectuer un travail plus en profondeur dans la première pièce.

Une chose est sûre, par défaut, la machine est extrêmement prudente et cherche surtout à éviter les collisions ou tout du moins les petits frottements intempestifs. Cela se traduit logiquement par des zones qui ne sont pas traitées. Le robot va s’arrêter de laver par exemple plusieurs centimètres avant un tapis et ne pas chercher à s’approcher de certains angles de murs. Pour remédier en grande partie à cela, il faut se rendre dans le menu Gestion des robots et décocher la case « Mode d’évitement des collisions ».

Le long de ses différents périples, le robot-aspirateur a prouvé l’efficacité de ses différentes technologies d’évitement des obstacles. Si, sans surprise, les plus gros comme une chaussure sont évités, il en sera de même avec un câble USB et la sangle d’un sac à dos. Voici certainement le plus doué actuellement dans le domaine. En revanche, son IA qui est censé reconnaître les objets manque souvent de jugement. Même chose pour la cartographie où les pièces traversées par le robot pourraient être reconnues et correctement nommées… Mais non, monsieur Dreame, notre entrée n’est pas une chambre !

Autre bémol, le Dreame L20 Ultra est un peu plus bruyant que la moyenne. Est-ce le revers de la médaille d’afficher une puissance d’aspiration supérieure à ce que propose la concurrence ?

Résultat des courses, ce premier passage prend plus de temps que la moyenne : 22 minutes contre 12 minutes pour le Xiaomi Robot Vacuum X10, 13 minutes pour le Roborock Q Revo ou 17 minutes pour le Midea M9. Le second passage, avec donc une cartographie déjà établie, se montre à peine moins long avec 19 minutes.

Nous lançons ensuite le programme CleanGenius Quotidien. Là encore, le Dreame L20 Ultra a mis 22 minutes pour réaliser sa tâche. Le constat semble donc s’imposer : cette machine est plus lente que la plupart de ses concurrentes, et ce assez nettement même. Mais une question s’impose à son tour très vite : cette relative lenteur par rapport à la concurrence se traduit-elle par un nettoyage plus efficace ?

Une efficacité redoutable

Commençons par l’aspiration. Elle se montre à la hauteur avec une puissance qui lui permet de laisser place nette après le passage de l’appareil. Voici certainement un des plus efficaces robot-aspirateurs à être passé entre nos mains, si ce n’est le plus efficace. Sa puissance lui permet de s’affranchir des tapis ras ou à poils courts. Pour le lavage, tout va dépendre de vos réglages. Avec les paramètres par défaut, les deux patins rotatifs ne feront pas de miracle face à des tâches incrustées. Ils viendront cependant à bout d’une terre fraîchement tombée de chaussures, même si le gros du travail sera en réalité fait par l’aspiration. Du soda renversé laissera des traces tout comme des traces de gras.

Mais l’application regorge de fonctionnalités pour améliorer le nettoyage. Le Dreame L20 Ultra pourra mettre en œuvre plus d’eau qui, rappelons-le, se voit complétée par le détergent automatiquement distillé et effectuer plusieurs passages (au choix, 1, 2 ou 3 passages). L’utilisateur peut par ailleurs opter pour « un passage de la serpillère en profondeur » pour reprendre les termes de l’app. Dans ce cas, le robot va effectuer des passages plus serrés, ce qui entraînera bien entendu un cycle encore plus long. En montant tous les curseurs, le nettoyage devant très bon et on se rapproche de l’efficacité des serpillères vibrantes des Roborock S8.

Et le fameux patin de droite qui sort de sa boîte pour venir parfaire le travail le long des murs notamment ? Cela fonctionne plutôt bien et le Dreame L20 Ultra va nettoyer des zones souvent oubliées par la concurrence.

Une bonne autonomie

Être plus lent que la moyenne signifie aussi que ce robot-aspirateur va fonctionner plus longtemps et donc davantage puiser dans sa batterie. Il lui a fallu pour traiter notre zone de test entre 11 et 15 % de batterie en fonction des réglages appliqués. Cela nous fait donc, sans tenir compte de la marque de la batterie que le système va conserver pour toujours être capable de revenir à sa base un temps de fonctionnement autour des 3 heures.

C’est une belle performance, mais qu’il convient de nuancer en raison de la relative lenteur de l’appareil. En clair, en une heure de fonctionnement, il couvre une surface moindre de ses concurrents. Mention spéciale pour la recharge qui tient toutes ses promesses en matière de rapidité puisqu’une pleine charge prend à peine plus de 3 heures.

Une station qui fait durer le plaisir

La station vide efficacement le bac à poussière du robot. L’opération ne dure qu’une poignée de secondes, mais attention au bruit généré : comme souvent, il est très élevé. On notera la présence d’un mode intelligent où le robot peut revenir de lui-même avant la fin de son passage s’il détecte que son bac se remplit dangereusement.

Le lavage des deux pads serpillères est des plus classiques : ils viennent tourner sur des bandes de plastique dotées de picots. Le résultat est plutôt convaincant, même si cela ne vous exempte pas d’un nettoyage manuel ou en machine régulier.

Le séchage à l’air chaud évite les mauvaises odeurs. L’utilisateur peut choisir sa durée avec trois choix : 2, 3 ou 4 heures. L’humidité n’est pas totalement chassée, mais nous n’avons pas eu de mauvaises odeurs au bout de plusieurs semaines d’utilisation. En revanche, si son gros volume pousse un peu à la feignantise, nous vous conseillons de vider souvent le réservoir d’eau sale sans oublier de le rincer, la poussière venant s’accumuler au fond. La partie basse de la station qui accueille le robot se salit forcément, mais, malgré sa couleur blanche, elle conserve fière allure longtemps et de toute façon elle se déclipse facilement pour être nettoyée. La promesse des 75 jours en autonomie n’est donc pas vraiment tenue, mais le L20 Ultra vous simplifiera toutefois grandement la vie. L’application indique l’état des consommables, y compris le niveau de la fiole de détergent.

Aspirateur robot Dreame L20 Ultra avec base auto-vidante
Notre Verdict

Le Dreame L20 Ultra est un robot-aspirateur ultra haut de gamme. Il déborde de fonctionnalités, parfois tout simplement inédites, tout en étant plutôt bien placé en prix. Il est en effet moins cher que le Roborock S8 Pro Ultra auquel il ne cède au final pas grand-chose. Une belle réussite donc.

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