Test Medion Erazer Crawler E40 : beaucoup de bruit pour rien
- Le prix juste
- Le clavier rude mais agréable
- Une puissance appréciable en 1080p
- La connectique à l’arrière
- Logiciel embarqué simple d’utilisation
- Le souffle assourdissant
- Aérations mal placées, comme le port Ethernet
- Ecran qui aurait mérité meilleur calibrage
- Châssis cheap
- Haut-parleurs catastrophiques
- On trouve bien mieux pour pas beaucoup plus cher
- Prix et disponibilité
- Une configuration modeste, mais suffisante pour jouer sereinement
- Un design d’un autre âge
- Un écran perfectible, mais correct
- Un ordinateur rapidement à bout de souffle
- Une partie logicielle claire, mais qui manque de profondeur
- Une autonomie attendue pour un PC gaming
- Les sacrifices sont trop grands, même pour le prix
- Commentaires
Avec le Erazer Crawler E40, Medion propose un PC portable gaming à un prix abordable. Un ordinateur un peu brut de décoffrage qui a des choses intéressantes à offrir, mais qui traîne malheureusement de lourds défauts de conception. Tellement lourds qu’ils en deviennent rédhibitoires.
Face à la flambée des prix des PC portables gaming, certaines marques cherchent à vendre des produits moins clinquants que la concurrence, mais à des prix plus raisonnables. C’est le cas de Medion avec son Erazer Crawler E40.
Pas de technologies novatrices ni même de design d'avant-garde pour ce PC. Nous avons un ordinateur gamer d’entrée de gamme qui veut offrir une expérience agréable pour pas cher. Il peut miser sur sa carte graphique RTX 4050, mais aussi sur son écran de 15,6 pouces avec un taux de rafraîchissement de 144 Hz. Pas une bête de course, donc, mais quelque chose de correct qui permet de profiter des gros jeux du moment sans à avoir à vendre un rein.
Mais la promesse est-elle tenue ? Les sacrifices consentis en valent-ils la peine ? L’expérience proposée par cet Erazer Crawler E40 est-elle en adéquation avec son prix ? Plus important encore : est-ce simplement un bon ordinateur ? Réponse tout de suite.
Prix et disponibilité
Le Medion Erazer Crawler E40 est d’ores et déjà disponible à la vente sur le site officiel du constructeur et chez les revendeurs partenaires, comme Boulanger ou Cdiscount.
Il est commercialisé à 1199 euros. Un tarif très intéressant quand on regarde ce que fait la concurrence à configuration équivalente. Par exemple, le MSI Thin GF63 est vendu à 1279 euros, l’Asus ROG Strix G16 est lui affiché à 1799 euros tandis que le TUF A15 est lui à 1699 euros (hors promo). Reste à savoir si autant rogner sur le prix n’impacte pas trop la qualité du PC.
Une configuration modeste, mais suffisante pour jouer sereinement
Le Medion Erazer Crawler E40 n’est pas un foudre de guerre. Un placement assumé par la filiale de Lenovo qui veut offrir un ordinateur suffisant pour jouer, et ce sans se ruiner. Il est équipé d’un processeur Intel Core i5-13500H épaulé par 16 Go de RAM. Côté GPU, nous avons une Nvidia GeForce RTX 4050, carte modeste mais efficace. On peut aussi compter sur 512 Go de stockage SSD.
Medion Erazer Crawler E40 | |
---|---|
Ecran | 15,6 " IPS 1920 x 1080 pixels 144 Hz |
Processeur | Intel Core i5-13500H |
GPU | Nvidia GeForce RTX 4050 |
RAM | 16 Go |
Mémoire interne | SSD 512 Go |
Clavier | Rétroéclairé chiclet |
Connectique | - 1x Prise jack Casque - 1x Prise Jack Micro - 2x USB 3.2 Type A - 1x USB 2.0 Type A - 1x USB 3.2 Type C - 1x HDMI - 1x port secteur - 1x port Ethernet - 1x port mini DisplayPort |
OS | Windows 11 |
Prix | 1199 euros |
Côté écran, Medion fait encore dans le classique avec une dalle IPS LCD de 15,6 pouces en Full HD. Son atout est évidemment son taux de rafraîchissement de 144 Hz (un minimum aujourd’hui). Bref, un PC très classique sur le papier, mais qui nous promet une expérience correcte.
Un design d’un autre âge
L’Erazer Crawler E40 ne brille pas par son design. Le constructeur allemand est allé à l’essentiel avec un châssis en plastique noir d’une sobriété absolue. On oserait même dire un peu triste. Aucune fantaisie ni aucun détail qui sort du lot dans cet ordinateur, tout juste un logo de la marque imprimé sur le capot arrière. Les maniaques ne seront pas ravis, puisque le plastique noir marque très facilement, étant sujet aux traces de doigt et aux microrayures. Aïe.
Le châssis de l’Erazer adopte un visuel agressif avec ses lignes anguleuses et ses grilles d’aérations ostentatoires. Celles-ci sont situées à l’arrière, derrière l’écran, ainsi que sur les côtés. Un placement peu judicieux que nous déplorons. En jeu, alors qu’on utilise une souris externe, le souffle chaud vient titiller notre main droite. Pénible ! Une chose que l’on ne voit pratiquement plus aujourd’hui sur les PC portables.
Sur le côté droit (donc toujours là où se trouve la main du joueur), on remarque un port USB 3.2 Type A ainsi que le port Ethernet. Comme pour le dégagement de chaleur, ce placement est incompréhensible. En effet, en plus du souffle désagréable sur les doigts, le joueur équipé d’une souris devra faire avec le fil Ethernet qui dépasse s’il choisit la connexion filaire. Ça commence à faire beaucoup.
Sur le côté gauche, nous avons deux ports USB Type A (3.2 et 2.0) ainsi que les ports casque. À l’arrière, on trouve le port secteur, mais également un port HDMI, USB Type-C et mini DisplayPort. Ce placement est plus malin que celui du port Ethernet, puisque les fils ne viennent pas déranger l’utilisateur quand le PC est branché (comme en jeu). C’est ici que la connexion Ethernet aurait dû être placée. On aime aussi la charnière, certes un peu grossière dans le visuel, mais résistante et efficace.
Le PC se montre imposant avec ses dimensions de 361 x 241 x 28 mm, mais reste léger pour son gabarit : il ne pèse « que » 2,26 kg. Cependant, la manipulation n’est pas vraiment appréciable. Le châssis en plastique craque sous les doigts et les bords de l’écran donnent une désagréable impression de fragilité. Ce n'est qu'une sensation, mais cela ne renforce pas la confiance qu'on peut avoir dans le produit.
Le clavier chiclet s'avère un peu rude au premier abord, avec ses touches en plastique aux bords recouverts de blanc. Mais cette impression est dissipée à l’utilisation. Medion arrive en effet à offrir un clavier agréable, quoiqu’un peu sec à la frappe, avec une course maîtrisée. On apprécie la présence d’un pavé numérique (ce qui n’est pas automatique sur un 15 pouces) ainsi que d’un rétroéclairage sur cinq niveaux réglables via un logiciel embarqué. Nous allons revenir sur son cas plus bas. La frappe est donc confortable. Nous avons déjà vu mieux sur le marché, mais aussi bien pire.
En revanche, les choses sont plus compliquées pour le pavé tactile qui n’apporte aucune sensation et qui a parfois du mal à bien saisir les mouvements de doigts. Plus encore, ses clics mécaniques ne sont pas vraiment des plus agréables. Mais nous sommes sur un PC gamer et de ce fait, on aura tôt fait de brancher une souris adaptée pour jouer. Un défaut qui s’efface rapidement, donc… remplacé par celui du souffle sur la main évoqué plus haut.
Le Crawler E40 de Medion est un ordinateur qui ne mise pas sur son look pour séduire. La marque allemande est allée droit au but avec un design brut de décoffrage qui se veut efficace. Une stratégie qui aurait pu fonctionner si le PC ne traînait pas des erreurs grossières, comme un souffle dégagé sur les côtés ou une connectique mal placée.
Un écran perfectible, mais correct
Le Medion Erazer Crawler E40 est équipé d’une dalle IPS LCD de 15,4 pouces d’une définition de 1920 x 1080 pixels (format 16 : 9) ainsi que d’un taux de rafraîchissement de 144 Hz. Une configuration très classique, mais suffisante pour une bonne expérience en solo pour les joueurs pas trop exigeants.
Nous avons évidemment analysé la dalle à l’aide de notre sonde et les résultats obtenus ne sont pas incroyables, mais pas catastrophiques non plus. Le contraste affiché est ainsi de 1200 : 1, ce qui permet d’avoir une lisibilité correcte des nuances de gris. Bien pour les FPS ou les jeux d’aventure un peu sombres comme Diablo 4, même si on aurait aimé un peu plus.
Le PC de Medion ne propose qu’un seul et unique profil de couleurs, il faudra donc faire avec. Nous avons mesuré un Delta E moyen de 3,3 (en dessous de 3 étant bon), ce qui pourrait paraître acceptable au premier abord. Cependant, on remarque que les verts et les rouges ne sont pas respectés. Cela se voit à l’œil nu, les deux couleurs étant sous-saturées. Dommage.
La température de l'image est à 7000K, soit au-dessus des 6500K de la norme vidéo. Cela signifie que l’affichage tire un peu vers le bleu, mais il est possible de corriger ce souci via le logiciel Control Center. Enfin, parlons de la luminosité, vrai point faible de cette dalle. Lorsqu'elle est réglée au maximum, l’écran atteint les 360 nits. Cela est suffisant pour jouer en intérieur, mais c’est tout. Il faudra oublier les parties sur la terrasse en été, d'autant que le traitement des reflets est inexistant.
Dans les faits, le Medion Erazer E40 ne dispose pas d’un mauvais écran, mais on aurait aimé un peu plus de soin au niveau du calibrage. L’absence de profils de couleurs prédéfinis est par exemple difficilement concevable en 2023, surtout sur un PC dédié à plusieurs usages comme le jeu, le traitement photo ou encore le divertissement.
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Pour les haut-parleurs, le tableau n'est malheureusement pas glorieux. Situés à l’avant, ils ne dégagent pas le son vers l’utilisateur, mais sur les côtés, ce qui donne un résultat peu naturel. Plus encore, leur puissance est contrebalancée par un vilain effet de boîte, le châssis tremblant à la moindre basse. On notera aussi une distorsion bien pénible qui vient assombrir un peu plus le tableau. Bref, il faudra mettre un casque pour profiter au mieux de l’audio, surtout que le Medion Erazer Crawler E40 traîne un autre gros souci qui vient agresser nos oreilles, nous allons le découvrir dans la partie suivante.
Un ordinateur rapidement à bout de souffle
Le Medion Erazer Crawler E40 est équipé d’un processeur Intel Core i5-13500, de 16 Go de RAM, d’un SSD de 512 Go, mais aussi d’une carte graphique Nvidia GeForce RTX 4050. Nous avons donc un PC gaming d’entrée de gamme, mais théoriquement capable de faire tourner tous les gros jeux du moment en 1080p. À noter qu’il s’agit là d’une configuration unique, on ne peut donc pas choisir un modèle avec une carte graphique plus puissante.
Il est possible d’ouvrir le PC afin d’accéder à ses entrailles. L’utilisateur peut changer le SSD (format M2) au besoin. On note également l’emplacement pour un SSD 2,5 pouces, mais pas de connecteur pour l’y installer. Rageant ! Enfin, les deux barrettes de 8 Go peuvent aussi être changées au besoin. Un plus.
Mais on reste étonné par la fragilité de l’agencement des composants, l’ensemble semblant tenir avec (littéralement) trois bouts de scotchs.
Le processeur Intel Core i5 offre des résultats attendus sur nos benchmarks. Il est vrai que nous avons plus tendance à tester des Core i7, voire i9 sur Phonandroid, et les résultats peuvent donc paraître peu élevés. Toutefois, ils sont en adéquation avec ce qui est proposé et le processeur est largement suffisant pour ceux qui ont besoin d’un peu de puissance pour traiter des photos, de la vidéo ou encore pour décompresser des fichiers.
Nous avons évidemment fait tourner nos jeux vidéo test sur le Medion afin de déterminer ce qu’il a dans le ventre. Les résultats obtenus sont -encore une fois- attendus. Comme on peut le voir, en mode jeu, 1080p, avec les graphismes réglés au maximum, le ray-tracing activé et le DLSS (auto) enclenché quand c’est possible, nous avons des scores très corrects. On note que certains titres comme Forza ou Cyberpunk n’atteignent pas le cap du sacro-saint 60 images par seconde, mais en désactivant le ray-tracing, cette barre symbolique est largement dépassée. La promesse de proposer un PC de jeu performant est donc tenue… mais à quel prix ?
Lorsqu’il est mis à l’épreuve, le plus grand défaut du Medion Erazer Crawler E40 nous saute au visage, ou plutôt aux oreilles. L'ordinateur gère extrêmement mal son bruit et sa chauffe. Pour garder son CPU à 60 degrés et son GPU à 74 degrés (score très honorable), ses ventilateurs -au nombre de deux- tournent à fond les ballons avec un petit bruit strident bien désagréable. Et nous ne parlons pas ici d’un souffle acceptable, puisque nous avons mesuré une nuisance de 58 décibels, avec des pointes à 67 décibels. C’est énorme, surtout pour une RTX 4050 ! En les poussant au maximum via le logiciel embarqué, les ventilateurs peuvent même atteindre les 70 décibels, c’est l’équivalent d’un bruit émis par un aspirateur. Il y a bien une option pour les mettre en silencieux (45 décibels), mais au prix d’une perte de 60% des performances. Aïe.
Un souffle tellement assourdissant qu’il rend toute activité de jeu pénible, voire exténuante, même en portant un casque. Lors de notre test, votre serviteur a même dû s’isoler tellement le bruit émis gênait les autres rédacteurs de Phonandroid dans l'open space. Un défaut majeur de conception qui justifie à lui seul la note si sévère que nous lui attribuons. Il est tout simplement impossible de profiter sereinement de son jeu dans ces conditions. À cela s’ajoute l’air chaud expulsé directement vers la main de l’utilisateur doté d’une souris, on le rappelle.
Une partie logicielle claire, mais qui manque de profondeur
L’ordinateur de Medion embarque bien évidemment Windows 11 avec son logiciel propriétaire préinstallé (tout comme l’affreux antivirus McAfee qu’on aura tôt fait de supprimer). Cette application se nomme Control Center, et comme son nom l’indique, permet de gérer certains aspects de votre PC.
Control Center se cache dans le menu des icônes rapides, il est donc facile de passer à côté. Il sert de HUB pour votre machine, donnant la possibilité de régler la vitesse des ventilateurs, les Leds RGB du clavier, les macros ou la consommation d’énergie. Dans les faits, nous avons une application qui se montre très claire, intuitive et simple d’utilisation, malgré un design à l’ancienne.
Cependant, on peut regretter que ce Command Center n’aille pas au fond des choses. Par exemple, pas de profils d’écran (nous l’avons signalé plus haut) ou de réglage en profondeur des LEDS. Pas d’effets prédéfinis ou d’animations personnalisables, par exemple.
Il est possible de paramétrer les ventilateurs, en associant leur vitesse à une température, mais cela reste très succins, à mille lieues de ce que propose la concurrence. Nous sommes loin, très loin d'un Synapse (Razer) ou d'un Armoury Crate (Asus), par exemple. Nous avons divers profils proposés selon l’usage (jeux, divertissement, économie d’énergie, silencieux) qui ne s’adaptent pas automatiquement à l’activité en cours. Bien évidemment, c’est le mode jeu qu’il faudra sélectionner pour les meilleures performances… mais au prix d’une nuisance digne d’un avion au décollage.
Bref, un logiciel efficace, clair, mais qui manque quelque peu de profondeur. Il suffira largement pour ceux qui veulent juste des réglages simples et sans prise de tête, mais pas pour ceux qui aiment paramétrer à fond leur ordinateur.
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Une autonomie attendue pour un PC gaming
Les PC gaming n’ont jamais brillé par leur autonomie et le Crawler E40 ne fait pas exception à la règle. Lors de notre benchmark habituel (vidéo en streaming, RGB désactivé et luminosité de l’écran à 200 nits), le PC atteint les 4 heures avant de s’éteindre. Ce n’est pas un défaut, étant donné qu’un tel produit est conçu pour être branché à l’utilisation.
Le chargeur de l’ordinateur est assez imposant avec 680 grammes. Cela signifie qu’en transportant le PC plus le chargeur dans un sac, la charge dépasse les trois kilos. Là encore, ce n’est pas un défaut compte tenu du format, mais c’est une donnée qu’il faut garder à l’esprit si vous souhaitez un PC à transporter de manière quotidienne.
Les sacrifices sont trop grands, même pour le prix
Le Medion Erazer Crawler E40 est un ordinateur qui veut proposer une configuration de jeu pour pas cher. Sur le papier, la mission est réussie, puisque nous avons un produit capable de faire tourner tous les gros titres du marché pour 1200 euros. Dans les faits, c’est plus compliqué. Si la promesse est tenue, les sacrifices consentis se montrent beaucoup trop grands. Rien que la nuisance sonore des ventilateurs justifie à elle seule le non-achat tant elle se montre pénible. Il faut ajouter à cela un châssis un peu cheap, un écran correct, mais loin d’être incroyable, un souffle agaçant sur la main ainsi qu’une connectique qui aurait pu être mieux pensée.
Pour conclure ce test, il faut donc se poser la question qui tue : vaut-il mieux acheter un Medion Erazer Crawler E40 à un tarif raisonnable ou casser sa tirelire pour un PC plus cher d’une marque concurrente à configuration équivalente ? Nous penchons sans hésiter vers la deuxième solution.
Les marques historiques comme Asus, Acer, MSI ou encore Dell proposent des ordinateurs plus fiables, plus équilibrés au niveau de la gestion du souffle et dotés d’une finition plus aboutie. Sans compter sur le fait que la magie des promotions permet souvent de gagner quelques centaines d’euros. À titre d’exemple, l’Asus TUF A15, qui dispose même d’un meilleur processeur que le Crawler E40, est vendu en promo à 1299 euros sur le site du constructeur au moment où nous écrivons ces lignes. L’Acer Nitro 5, qui embarque une RTX 3060 à la puissance équivalente en 1080p, est lui affiché à 1199 euros. Le choix est vite fait.
Medion échoue à proposer une expérience convaincante avec son Erazer Crawler E40. Certes, la promesse d’offrir une machine de jeu efficace en 1080p pour un prix abordable est tenue, mais les sacrifices consentis sont beaucoup trop grands. Si on peut pardonner un châssis un peu cheap ou un calibrage d’écran moyen, il est difficile de digérer la nuisance sonore, le souffle assourdissant des ventilateurs étant à lui seul un frein à l’achat. Bref, un ordinateur bancal qui fait pâle figure face à la concurrence.
- Le prix juste
- Le clavier rude mais agréable
- Une puissance appréciable en 1080p
- La connectique à l’arrière
- Logiciel embarqué simple d’utilisation
- Le souffle assourdissant
- Aérations mal placées, comme le port Ethernet
- Ecran qui aurait mérité meilleur calibrage
- Châssis cheap
- Haut-parleurs catastrophiques
- On trouve bien mieux pour pas beaucoup plus cher