Test Motorola Edge 5G : Motorola revient à son meilleur niveau
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Le Motorola Edge est un smartphone qui se place sur le marché du milieu de gamme “plus”. Il cherche à se différencier de la concurrence grâce à son design tout en sobriété ainsi que grâce son écran (très) incurvé sur les côtés. Il a également le mérite de proposer d’autres petites choses sympathiques comme un capteur d’empreintes sous sa dalle et un triple appareil photo. Cela suffit-il à sortir son épingle du jeu dans un marché ultra-concurrentiel ?
Motorola avait délaissé le monde du smartphone milieu et haut de gamme depuis quelques temps. La marque, désormais sous pavillon chinois sous la tutelle de Lenovo, a surpris en 2019 avec un Razr pliant, mais qui fait figure d’exception. Elle signe son grand retour en 2020 avec deux modèles, le Motorola Edge Plus et le Motorola Edge.
Le premier est un smartphone ultra haut de gamme qui ne sera pas vendu en France. Motorola nous réserve en effet la version Edge classique, plus modeste, qui dispose toutefois d’une fiche technique alléchante et que nous testons aujourd'hui. Snapdragon 765G (donc compatible 5G), écran OLED 6,7 pouces avec taux de rafraîchissement de 90 Hz et incurvé sur les côtés, capteur d’empreintes sous la dalle… il a tout pour séduire celui qui cherche un produit digne des ténors du marché.
Mais tient-il la route face à des smartphones plus solides techniquement et pas beaucoup plus chers, comme par exemple le OnePlus 8 ? Réponse dans ce test.
Fiche technique
Motorola Edge | |
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Dimensions | 161,6 x 71,1 x 9,3 mm |
Poids | 188g |
Ecran | 6,7 pouces OLED 19.5:9 385ppi 1080 x 2340 pixels Corning Gorilla Glass 5 90Hz |
Chipset | Snapdragon 765G |
OS | Android 10 |
RAM | 6 Go |
Stockage | 128 Go |
microSD | Oui |
Capteurs arrières | 64 MP f/1.8 8 MP telephoto f/2.4 16 MP grand angle f/2.2 |
Capteur façade | 25 MP f/2.0 |
Batterie | 4500 mAh Charge rapide 18 watts Pas de charge sans fil |
5G | Oui |
Connectivité | Jack 3,5 mm NFC WiFi 6 Bluetooth 5.1 USB 3.1 type-C |
Biométrie | Scanner d’empreinte dans l'écran |
Résistance à l'eau | Non, mais revêtement hydrofuge |
Prix | 559 euros |
Disponibilité et prix
Le Morotola Edge est d’ores et déjà disponible à la vente. Il se classe dans la gamme des terminaux dits moyen de gamme « plus ». Sur le site officiel de Motorola, le smartphone est vendu au prix de 549 euros. Cependant, le prix grimpe à 599 euros chez les revendeurs tiers, comme la Fnac ou LDLC. Il n’est disponible que dans un seul coloris : noir.
Un design sage, mais réussi
Motorola est reparti de rien avec ce nouveau smartphone et cherche à proposer un design nouveau. Le constructeur ne veut pas bousculer les codes du marché et a décidé de prendre à la concurrence ce qui se fait de meilleur. Le résultat est un smartphone chic et sobre, mais au look un peu passe-partout.
L’Edge propose une coque arrière en plastique noir aux reflets bleu nuit d’une classe certaine (coloris unique). Si le smartphone est agréable à l’œil, on regrette toutefois un matériau brillant qui a tendance à attirer les traces de doigt. Les plus maniaques devront passer leur journée à le nettoyer : une simple manipulation, et votre Edge est sale ! Un défaut que l’on retrouve sur nombre de terminaux au capot plastique, mais qui particulièrement présent sur ce modèle.
Motorola a bien entendu placé son logo à l’arrière du produit, mais il reste discret à l’image de l’appareil photo composé de trois capteurs placés en colonne. Notons qu’il n’y a pas de capteurs d’empreintes ni sur le capot, ni sur les tranches, ni en façade. Il est en effet situé sous l’écran, à la manière d’un Huawei P30 ou P40.
Les tranches sont elles en aluminium noir. Sur la partie supérieure, nous trouvons un tiroir pour y placer deux cartes SIM ainsi qu’une carte microSD (jusqu’à 512 Go). Sur la partie inférieure, un port Jack 3.5mm, un port USB Type-C ainsi que l’un des haut-parleurs (un deuxième est caché sous l’écran). Un placement un peu gênant pour le port Jack auquel il faudra s’habituer. Nous aurions en effet préféré le voir sur la tranche supérieure où il y avait largement la place.
Des boutons physiques sont présents sur la tranche droite, avec un double bouton pour le volume et un bouton d’allumage cranté qui se trouve très facilement avec le pouce.
Il ne vous aura pas échappé que le terme Edge vient du fait que l’écran ainsi que le capot à l’arrière sont incurvés. Il ne s’agit pas juste d’une incurvation légère, mais d’un choix de design fort, l’écran étant plié à presque 90% sur les bords. Cela renforce l’impression d’un affichage très peu large et la prise en main est parfaite. Les bords ne sont en effet pas « coupants » et la forme en biseau ne gêne nullement la manipulation. Du beau travail. Notons que les logiciels s’adaptent à cette « perte de place » sur les côtés, Motorola laissant le choix à l’utilisateur de les occuper ou non d’un simple geste. Nous y reviendrons.
Une coque en caoutchouc est fournie dans le boitier du smartphone, ce qui est appréciable. S’il protège le terminal, il vient un peu casser son design aérien et tranché. Un peu dommage. C’est à vous de décider si vous l’utilisez ou non.
En main, le smartphone est un réel plaisir à manipuler. Comme nous le disions plus haut, l’utilisateur ne sera absolument pas gêné par les bords extra fins du smartphone, au contraire. Motorola a tout fait pour que le produit épouse parfaitement la forme de la paume. De même, le plastique doux et brillant utilisé a le mérite de ne pas glisser sur une surface plane. Inutile donc de craindre de le faire tomber.
En définitive, le design du Edge est une réussite. Certes, il ne fait pas dans l’originalité (on peut le confondre facilement avec un Samsung Galaxy S9), mais il ne cherche pas non plus à le faire. Moto est resté très sage. Un smartphone qui adopte le design d’un haut de gamme, puisque c’en est un à l’origine, le Edge étant une déclinaison du Edge Plus, on le rappelle.
Un écran Edge de qualité
Le Motorola Edge est équipé d’une dalle OLED de 6,7 pouces d’une définition de 2340 x 1080 pixels. Elle dispose d’une densité de 385 ppi, ce qui est relativement correct mais pas incroyable, et d’une protection Gorilla Glass 5. Ses bords verticaux sont inexistants grâce à la courbure de son écran, et ceux en haut et en bas sont quasiment absents, notamment grâce à une caméra frontale placée dans un poinçon discret. Cela nous donne un ratio écran/façade extrêmement élevé de 96%. Un régal pour les yeux.
Il faut signaler que Motorola propose un taux de rafraîchissement de 90Hz pour sa dalle, contre les 60Hz habituels. Cela apporte plus de fluidité, aussi bien dans les jeux que dans les menus, à tel point qu’il est difficile de revenir en arrière. Nous ne sommes toutefois pas au niveau des smartphones « gamers » comme le ROG Phone ou encore le Razer Phone, qui eux poussent le vice jusqu’à monter à 120 Hz. Il est bien évidemment possible de remettre le taux à 60Hz, ce qui permet de gagner un peu de batterie. Un mode intelligent permet également de rester à 60Hz et de passer à 90Hz lorsqu’un jeu se lance.
Nous avons analysé l’écran à l’aide d’une sonde et les résultats obtenus sont très convaincant. En plus d’un contraste extrêmement élevé, OLED oblige, la dalle du Edge offre un bon respect des couleurs affichées avec un Delta E en dessous de 3, avec toutefois un écueil au niveau des jaunes. On notera une température maîtrisée, mais un peu élevée, ce qui conduit à un affichage tirant légèrement vers le bleu lorsqu’une page blanche est affichée.
La luminosité maximale monte à 450 cd/m², mais elle aurait mérité d’être plus élevée pour plus de confort lors d’une utilisation par grand soleil. Bien entendu, la luminosité du smartphone peut se régler automatiquement en fonction de la lumière ambiante, ou de manière manuelle. On notera tout de même des courbures d’écran qui sont très sujettes aux reflets, ce qui gêne lorsque vous utilisez votre terminal dehors. Cependant, nous verrons plus bas que Motorola a trouvé la parade en laissant la possibilité de ne pas utiliser ces bords dans les applications.
En matière de son, le bilan est un peu moins reluisant. En effet, si les haut-parleurs apportent une puissance très satisfaisante, la coque du smartphone a tendance à vibrer à haut volume. Gênant. Lorsque l’utilisateur tient son smartphone horizontalement, pour regarder une vidéo ou jouer à un jeu, sa paume droite aura tendance à appuyer sur le haut-parleur situé sur la tranche. Cela a pour conséquence d’étouffer le son et vient gâcher l’expérience. Le deuxième haut-parleur ne viendra pas compenser : il délivre un son étouffé naturellement puisqu’il est placé sous l’écran et n'a pas de sortie.
Performant, mais pas un foudre de guerre
A l’intérieur du Motorola Edge, nous trouvons un processeur Qualcomm Snapdragon 765G. Ce processeur, gravé en 7 nm, est destiné aux terminaux de moyenne gamme « plus ». Il cherche non seulement à apporter des performances correctes à l’utilisateur, mais propose aussi la 5G. Pour ce dernier point, nous n’avons évidemment pas pu tester. Mais si vous craquez, sachez que vous serez prêt pour l’arrivée du réseau. Pour épauler ce SoC, Motorola a prévu 6 Go de RAM.
Nous avons effectué plusieurs sessions de benchmark avec le Edge et les résultats se sont montrés convaincants pour un SoC milieu de gamme, mais pas incroyables. Il n’atteint pas les performances du Snapdragon 865, logiquement très au-dessus. Mais ce dernier équipe des smartphones vendus dans la même gamme de prix, comme le Xiaomi Black Shark 3 qui est 50 € plus cher ou le Xiaomi Poco F2 Pro, qui lui est beaucoup moins onéreux. Il dépasse cependant le Helio G85 du Redmi Note 9 d’une bonne brassée, mais ne le bat pas à plate-couture comme on pouvait s’y attendre (le smartphone étant vendu à un tarif beaucoup plus bas). En revanche, il est supérieur au Xiaomi Mi Note 10, équipé d’un Snapdragon 730G, qui lui est vendu exactement au même prix.
Nous avons donc là un bon processeur qui a l’avantage d’être doté d’une puce 5G, ce qui sera utile à l’avenir. Un bon point. En utilisation, l’Edge se montre efficace en étant fluide que ce soit dans les menus ou en jeu. Des titres comme Call of Duty Mobile ou encore Asphalt tournent parfaitement avec les graphismes à fond. Nous n’avons cependant pas pu tester le terminal sur l’ultra populaire Fortnite, ce dernier n’étant tout simplement pas compatible. Un mauvais point pour les fans.
Dans les menus, tout tourne évidemment parfaitement bien, même avec plus d’une dizaine d’applications ouvertes simultanément. Le smartphone ne chauffe pas outre mesure, même lorsqu’un gros jeu est lancé, et ne vous dérangera donc pas sur ce point.
Des bords intelligemment utilisés
L’Edge tourne sous Android 10, mais avec quelques petites applications Motorola faites pour améliorer la vie de l’utilisateur. Si celles-ci ne changent pas drastiquement l’expérience, elles sont tout de même bienvenues et s’en passer après les avoir utilisés est compliqué. La plus visible, et la plus utile, est un tiroir d’applications symbolisé par une fine barre blanche qui se range sur l’un des côtés incurvés de l’écran. Ainsi, en appuyant avec votre pouce sur la barre, des applications peuvent apparaître pour y accéder immédiatement. Cette barre se substitue également à la navigation par gestes, puisqu’en la poussant vers le haut vous affichez les applications ouvertes, par exemple.
Cette barre donne la possibilité d’utiliser ou non les bords de l’écran dans une application. En tapotant deux fois dessus, le texte de Chrome s’étend sur les côtés incurvés, utilisant 100% de l’affichage. Vous pourrez ensuite réduire de nouveau l’affichage, en cas de gêne à cause des reflets, comme vu plus haut. Elle peut bien entendu se personnaliser, se placer sur le bord gauche ou droite selon les choix de l’utilisateur et est réglable en hauteur. Difficile de revenir en arrière après s’y être habitué, tant la chose est pratique. On goûte de nouveau aux joies d’utiliser un smartphone à une main avec ce gadget.
Une des autres utilisations du bord d’écran concerne les notifications. Si votre Edge est retourné, écran contre terre, les côtés peuvent s’illuminer en cas d’appel ou de message. Pratique lorsque vous êtes en silencieux. Il y a plein de petites choses encore à découvrir, comme la possibilité d’utiliser le bord comme une règle si vous avez besoin de mesurer quelque chose.
L’écran de verrouillage est également bien pratique. S’allumant automatiquement lorsqu’il y a du mouvement, il permet d’afficher rapidement les notifications en restant appuyé dessus, sans le déverrouiller. Utile pour lire un message sans perdre de temps.
Notons que le capteur d’empreintes est inclus dans l’écran, dans la partie inférieure. S’il se montre moins réactif que ceux de Huawei sur ses haut de gamme, nous n’avons rien à lui reprocher. Il fonctionne à la perfection et l’effet « whaou » d’un capteur directement sous la dalle est toujours là. Il est également possible de déverrouiller le smartphone avec son visage. Si encore, la chose fonctionne correctement, nous avons connu plus réactif. Enfin, Motorola a ajouté d’autres petites applications dans son smartphone, comme un mode jeu bien pénible qui prend la forme d’une petite bulle et qui permet d’accéder à des réglages lorsque vous lancez une partie. Heureusement, elle est désactivable.
Motorola ne bouscule pas Android, mais apporte des améliorations bienvenues. Le constructeur a compris que la force de son produit résidait dans son écran incurvé et il n’hésite pas à l’exploiter au maximum pour notre plus grand bonheur. Tournant actuellement sur Android 10, le smartphone devrait passer sous Android 11 plus tard, mais Motorola n’a pas donné d’information sur le « quand ». On espère qu’il ne faudra pas attendre trop longtemps.
Un bon appareil photo, mais pas extraordinaire
Au dos du smartphone, nous trouvons trois capteurs alignés les uns derrière les autres. Le capteur principal est de 64 mégapixels avec une ouverture f/1,8. Il est accompagné d’un capteur téléobjectif de 8 mégapixels (ouverture f/2.4) et d’un capteur grand angle de 16 mégapixels. A l’avant, nous avons un capteur selfie de 25 mégapixels situé dans un poinçon très discret.
Nous sommes en terrain connu en termes de logiciel, et nous retrouvons quelques petits modes sympathiques comme le mode panoramique, les filtres en direct, ou le cinémagraphe, qui permet de choisir un cliché parmi une vidéo et d’enlever les éléments indésirables en arrière-plan. Idéal pour prendre un animal ou un lieu touristique en photo.
Le bord gauche de l’écran est utilisé pour changer de capteur lorsque le téléphone est en position verticale. En faisait glisser le doigt sur le côté, vous zoomez et dézoomez à volonté sans utiliser vos deux doigts. Malin et pratique. D’autres petits gadgets viennent faciliter la vie de l’utilisateur, comme par exemple une IA qui classe vos clichés par thèmes ou qui les redresse automatiquement.
Le capteur peut faire d’excellentes photos lorsque la luminosité est adéquate. Ainsi, nous n’avons ni grain ni flou sur les clichés de jour. Les couleurs sont également parfaitement capturées. Dans la pénombre, la chose est un peu plus compliquée. Dans un environnement sombre, le capteur ne fait pas de miracle. Il existe bien entendu un mode nuit, qui nécessite quelques secondes de pause. Le résultat est meilleur, mais la luminosité fait tout de même très artificielle. Peu convaincant.
Notons que l’appareil se débrouille aussi bien en plan large qu’en gros plan. Il est tout à fait possible d’activer manuellement le mode macro pour prendre un objet en photo ou encore le mode portait. Ce dernier peut se montrer pratique, même s’il a parfois du mal à gérer le flou derrière votre modèle, nécessitant une intervention manuelle.
L’Edge se dote d’un zoom optique, ce qui est appréciable. S’il n’est pas aussi impressionnant celui du P40, il a tout de même le mérite d’être présent. Les clichés pris avec le zoom X10 ont bien entendu grainés et peuvent être un peu flous, mais un traitement logiciel vient corriger les failles. Cela apporte un résultat correct, mais perfectible. Le capteur grand angle permet un dézoom X0,5 qui n’élargit pas vraiment le cliché de manière spectaculaire. Il montrera toutefois son utilité si quelqu’un est hors champ lors d’une photo de groupe. Le capteur selfie est lui très correct, capable de filmer en 1080p et 30 FPS pour une conversation vidéo.
Voici quelques exemples de photographies prises avec le Moto Edge :
L’appareil photo du Edge est de bonne facture. Même s’il est perfectible, notamment au niveau du zoom, du mode nuit et du mode portrait. Motorola livre une bonne copie, sans toutefois prétendre rivaliser avec les ténors du marché.
Une batterie correcte selon l’usage
Le Motorola Edge est équipé d’une batterie de 4500 mAh, une capacité dans la moyenne haute des smartphones actuels. Dans la boîte nous trouvons également un chargeur de 18 watts pour une charge rapide. Notons que le smartphone n’est pas compatible avec une charge sans fil, ce qui est un peu dommage.
Lors de notre test, nous avons, en utilisation normale (un peu de jeu, un peu de web, de GPS, de vidéo et des appel), tenu deux jours pleins sans recharger le terminal (avec 4% de batterie le deuxième soir). Un score très honorable pour un smartphone. Ce test a été effectué avec l’écran réglé par défaut, c’est-à-dire en 60 Hz dans les menus et 90 Hz en jeu. Nous avons également utilisé le Edge avec l’écran à réglé à 90Hz uniquement, et il s’avère que nous avons été obligés de le recharger au bout d’un jour et demi (vers 11 heures au deuxième jour). On perd donc 25% d'autonomie dans ce mode. Cependant, cela reste très bien.
Le smartphone dispose de la recharge rapide. Lors de nos tests, nous avons pu constater un rechargement total de la batterie en deux heures et demie.
Le Motorola Edge a le mérite de ne souffrir d’aucun gros défaut. Son écran courbé est utilisé intelligemment et on apprécie son design sobre. La qualité de l’écran est également à saluer, tout comme sa partie photo. On regrettera juste un processeur un peu juste, surtout pour un smartphone vendu 549 euros. Il est possible de trouver bien meilleur en payant juste un peu plus cher. Mais Motorola livre un très bon smartphone milieu de gamme « plus » pour son retour et arrive à convaincre, malgré un certain manque de personnalité.
- Ecran de qualité avec un taux de rafraîchissement de 90 Hz
- Utilisation intelligente des courbures
- Triple capteur photo de qualité
- Bonne autonomie
- Manque un peu de puissance face à la concurrence
- Design sobre, mais passe partout
- Partie arrière qui attire les traces de doigts
- Courbure qui attire les reflets