Test Xiaomi Redmi 14C : un tout petit prix pour un champion de l’autonomie

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Besoin de changer de téléphone, mais pas envie de dépenser un demi-salaire ? Plutôt autonomie que puissance brute ? Ce Xiaomi Redmi 14C est probablement la bonne affaire que vous recherchiez. Elégant, grand écran, grosse batterie… il a de quoi séduire. Commercialisé moins de 160 euros, difficile de faire la fine bouche. Phonandroid l’a testé et vous donne son verdict.

Il y a grosso modo deux utilisateurs de téléphones, comme il y a deux types de conducteurs. Les uns veulent la plus belle auto, la plus puissante. Ils en changent régulièrement, c’est un objet statutaire. Les autres veulent juste une auto qui les mènent d’un point a à un point B, au meilleur prix. Le reste, il s’en moque. Le Redmi 14C s’inscrit dans cette seconde catégorie. Pas d’esbroufe, un téléphone, simple, basique… mais économique.

Avec la montée en gamme des téléphones chinois, les tarifs augmentent de concert. Il n’existe plus de téléphone Xiaomi à moins de 500 euros à leur sortie. Redmi est naturellement venu combler le segment d’entrée de gamme, laissé vacant par la marque Xiaomi. Le prix des matériaux et des composants a explosé ses dernières années. S’il était possible de marquer la majoration des prix sur le moyen haut de gamme, c’est plus compliqué sur l’entrée de gamme.

Fiche technique

Xiaomi Redmi 14C
EcranLCD PLS
6,88 pouces
1640 x 720 pixels
120 Hz
ProcesseurMediaTek Helio G81-Ultra
OSAndroid 14 + HyperOS 1.0.3
RAM4/8 Go
Stockage128/256 Go
microSDOui (jusqu'à 1 To)
Capteur principal- 50 MP (f/1.8)
Capteur selfie13 MP (f/2)
Batterie5160 mAh
Recharge filaire 18 Watts
BiométrieScanner d’empreinte sur le bouton / reconnaissance faciale
Résistance à l'eau-
Sans fil- Wi-Fi 802.11 ac (Wifi 5)
- Bluetooth 5.1
- NFC
Réseau- 4G/4G+/4G LTE
ConnectiqueUSB Type-C
Dimensions171.9 x 77,8 x 8,2 mm
PoidsNoir, Violet : 211 g
Bleu : 204 g
Vert : 207g

Prix et disponibilité

Le Redmi 14C est mis en vente depuis le 24 septembre 2024. Il existe en deux configurations. D’une part, un modèle avec 4 Go de RAM et 128 Go de stockage, proposé au prix public conseillé de 161,90 euros. D’autre part un modèle de 8 Go de mémoire vive et 256 Go de mémoire de stockage, vendu au prix de 181 euros. On retrouvera le Redmi 14C chez les revendeurs habituels tels que Boulanger, Darty ou Fnac, ainsi que chez les opérateurs téléphoniques mobiles.

Côté couleurs, Redmi offre trois options : un bleu océan, un violet lavande et un vert olive, en plus du classique noir (testé ici). Dans cette gamme de smartphones abordables, le Redmi 14C entre en  concurrence avec des modèles comme le Motorola G34 5G,  Poco C65, le Realme C55 ou encore le Samsung Galaxy A05s.

Design

Sur les téléphones d’entrée de gamme, à moins de 200 euros, on est au départ un peu méprisant. On n’a souvent d’yeux que pour le produit premium, l’innovation technologique, le nouveau fleuron de la gamme et on peut délaisser les modèles « premiers prix ». Or les différences entre entrée et milieu de gamme se réduisent. Les motorisations premium d’il y a quelques années n’ont rien à envier à celles d’entrée de gamme d’aujourd’hui. En matière de « look and feel », il est de même. Le Redmi 14C en est la parfaite illustration.

Examinons en premier le dos, élément le plus distinctif d’un smartphone par rapport à un autre. Une dalle brillante sertie d’un cadre mat. A quelques dizaines de centimètres de distance, rien ne le distingue d’un téléphone haut de gamme, d’un Xiaomi 14 par exemple. D’ailleurs, son bloc photo circulaire fait immédiatement penser au Xiaomi 14 Ultra, vendu plus de 1500 euros. Mais le diable est dans les détails.

Le dos est brillant n’est pas en verre Gorilla mais c’est bien du verre et non du polycarbonate, du plastique en d’autres termes. Il se raye donc moins facilement que le verre. Par d’ailleurs, le châssis mat n’est pas en métal, mais aussi un polymère. Economie oblige. Pour chercher la petite bête, il faut aussi ajouter que le châssis dépasse un peu au verso. Il râpe légèrement en raison d’un infime décalage entre bord de la dalle polycarbonate et du châssis.

Alors que la taille de l’écran s’allonge sensiblement (0,14 pouce, soit 35 millimètres), le Redmi 14C voit sa longueur et largeur réduire par rapport à la génération précédente, mais son épaisseur augmente de manière presque imperceptible (0,13 millimètre). Son poids s’accentue de manière significative (+12 grammes). C’est le plus lourd des téléphones sur son créneau. Et encore, son poids de 204 grammes est uniquement dans sa version bleu… Pour le modèle vert, on passe à 207 grammes et même 211 grammes pour les modèles noir et violet ! Est-ce que vous sélectionnez votre futur téléphone en fonction de son poids, rien n’est moins sûr.

Comme le Poco C65 ou le Redmi 13C, la prise jack du 14C est situé sur la tranche supérieure. Le logement pour la carte SIM autorise une deuxième nanoSIM ainsi qu’une carte mémoire microSD.

Écran

Au de là du tarif, l’écran est probablement un des critères les plus important dans le choix d’un smartphone d’entrée de gamme. La tendance est au plus grand : une dalle toujours plus étendue pour un affichage plus confortable du web et ses applications. Malheureusement, l’écran est l’un des composants les plus chers d’un téléphone, souvent variable d’ajustement pour réduire le cout de fabrication.

Sur un téléphone à moins de 160 euros, on est donc méfiant… Et pourtant, c’est positif. Déjà, la dalle arbore une belle diagonale de 6,88 pouces, la plus longue sur un téléphone de cette gamme. On est proche donc des 17,5 centimètres quand l’écran du Samsung Galaxy A05s est presque 1 centimètre plus court. Comme nous l’avons déjà évoqué, Xiaomi augmente légèrement la taille par rapport à la génération précédente.

La taille ne fait pas tout. La définition plafonne à du HD+, 720 x 1640 pixels pour être précis. C’est un tantinet mieux que la plupart de ses concurrents actuels sauf un. Le Samsung Galaxy A05s, avec son écran plus petit bénéficie en effet d’une matrice de pixels beaucoup plus importante. En d’autres termes, le Redmi 14C possède l’écran le plus grand du marché, mais avec la résolution la plus faible avec 260 pixels par pouce. En clair, l’affichage est plus grand, mais moins précis.

Le constructeur améliore encore l’écran de son Redmi C sur un autre point. En effet, le taux de rafraichissement de la dalle passe de 90 Hz sur le Redmi 13c à 120 Hz sur le Redmi 14C. L’attention est intéressante… principalement pour certains gamers. Au quotidien, le changement est invisible pour la quasi-totalité des applications. D’ailleurs, le téléphone est par défaut réglé sur un « taux d’actualisation dynamique, pour préserver la batterie.

Question luminosité, rien d’extraordinaire. Le constructeur annonce 450 nits en moyenne avec des pics de 600 nits en cas d’ensoleillement important. En d’autres termes, le Redmi 13C est adapté pour une lecture en intérieur mais il montre ses limites en extérieur. Par temps nuageux, ça passe, par temps ensoleillé ça casse. Il sera difficile, voire impossible de consulter son écran correctement au bord de la mer ou d’un glacier. Il faut toutefois nuancer que dans cette gamme tarifaire, les téléphones sont généralement sombres.

Restons dans les paramètres d’affichage, ils sont peu nombreux. Pas de calibration DCI-P3, de traitement numérique HDR ou autres.  La colorimétrie se borne à choisir le schéma de couleur intense (ajusté en fonction du contenu), saturé (couleurs dopées) ou encore standard (couleurs constantes). On aura également le loisir de modifier la température de couleur. Ce dernier choix est utile car l’écran vire légèrement au bleu dans le paramétrage par défaut.

Interface et connectivité

Sans surprise, le Redmi 14C fonctionne sous Android 14 avec la surcouche graphique maison HyperOS 1.0.3. Par rapport au test de notre récente tablette Redmi Pad Pro, il y a une petite mise à jour de retard. Sur la génération précédente, c’était encore MIUI basé sur Android 13 qui tournait. Rassurez-vous, le changement est cosmétique et le passage d’un 13C à un 14C est invisible.

Ce smartphone est également bien équipé en termes de connectivité. Contrairement à la plupart de ses concurrents, le Redmi 14C n'est pas compatible avec la 5G. Pour les communications à longue distance 802.11, il se limite au WiFi 5. Pour les connexions à courte portée, il rejoint ses camarades en prenant en charge le NFC ainsi que le Bluetooth 5.4 (mieux que son ancêtre Redmi 13C). Par ailleurs, on peut l'utiliser pour écouter les stations FM en branchant des écouteurs filaires.

Audio

En matière de son, le Redmi 14C est dans un classicisme sans surprise. Il existe en effet un haut-parleur principal à côté du port USB type C et un invisible haut-parleur dissimulé dans une fente, au-dessus de la caméra frontale et sous le châssis. Déjà, oublié le son provenant du haut-parleur secondaire, il diffuse environ 5% de la puissance sonore globale. Il faut vraiment avoir l’oreille collé au téléphone, en conversation par exemple, pour l’entendre.

Le son diffusé par le haut-parleur principal est puissant… mais c’est tout. L’acoustique semble étouffée. On discerne mal les nuances dans les musiques. Au-delà de ce son brouillon, les mediums limitent la casse. Pour une écoute en mains libres, on trouve mieux chez la concurrence. Les aigus sont audibles, mais très acides, les graves sont en revanche quasi inexistants.

On préfèrera donc avantageusement exploiter un casque ou des écouteurs. Généreusement doté d’une prise jack 3.5, « les vieux périphériques externes filaires » fonctionnent sur ce Redmi 14C. On pourra également brancher des appareils Bluetooth puisque le téléphone supporte la norme de communication dans sa version 5.4.

En termes de réglages sonores, c’est service minimum. Il n’existe pas de traitement numérique comme celui de Dolby, contrairement au Motorola G34 5G ou Samsung A05s par exemple. Il faudra se contenter du « son Xiaomi », sans d’ailleurs pouvoir le désactiver. Seul l’égalisation graphique est la véritable variable pour modifier la perception sonore. Neuf profils musicaux sont disponibles, dont un mode personnalisable avec sur 10 niveaux.

Performances

Quel puce a sélectionné Xiaomi pour que son Redmi 14C soit commercialisé en dessous de la barre fatidique des 160 euros ? Rappelons que pour la génération précédente, le constructeur chinois avait opté pour un octocœur Mediatek Helio G85 et d’un GPU Marli G52 MC2 pour la partie affichage. Cette année, on trouve un Mediatek Helio G81 Ultra pour le CPU avec un Mali M52 MC2. En clair, le SoC est un poil plus rapide (50 MHz en vitesse turbo), sinon c’est kif kif. Même architecture (2 Cortex A75 @ 2 GHz et 6 Cortex A55 @ 1,8 Ghz) et même finesse de gravure (12 nanomètres).

Coté mémoire vive, l’allocation est dans la moyenne mais le constructeur propose un étonnant éventail de configurations, bien plus qu’avec la version précédente. L’offre débute avec 4Go de RAM avec 128 ou 256 Go de stockage. Redmi propose également une configuration 6 Go et 128 Go de stockage. Et en haut de gamme pour cette série, on trouve aussi une configuration avec 8 Go de mémoire vive et 256 Go de stockage.

On est forcément un peu déçu. La puissance n’est peut-être pas le critère essentiel pour un téléphone de ce type. Malgré tout, l’IA est partout, en particulier dans le traitement de l’image (voir paragraphe Photo et vidéo). Et les résultats de nos benchmarks font vraiment peine à voir. Pour commencer sur une note positive, le Redmi 14C réalise le second meilleur score dans les taches bureautiques classiques (sous Work 3), derrière le Motorola G34 5G, dans cette gamme de prix.

Sur Geekench 6, on est à peine au-dessus du vieux Qualcomm Snapdragon 680 d’un Samsung A05s. On est même en dessous des performances du Mediatek Helio G85 équipant Poco C665 et Redmi 13C… En intelligence artificielle, que ce soir Geekbench ML ou AItutu, les résultats sont vraiment très bas. Pourtant, ce Redmi 14C comme ses camarades exploite le swapping, en volant quelques gigaoctets de stockage pour les transformer en mémoire vive. La pratique est courante mais ce téléphone propose jusqu’à 16 Go d’emprunt alors que par défaut, il n’utilise rien…

Il est vrai que l’on perçoit des lags en passant d’une app à une autre ou sur certaines applications gourmandes en ressources. Sur Genshin Impact, le jeu fonctionne par défaut en qualité de graphisme « très faible ». Et en essayant de passer outre, le jeu traine comme un téléphone antique.

Batterie et charge

Pour la batterie de son Redmi 14C, le constructeur n’a pas voulu faire comme tout le monde. Les accumulateurs de 5000 mAh sont monnaie courante en entrée et milieu de gamme, alors offrons 5160 mAh ! Rassurez-vous, avec 160 mAh de différence, ce téléphone ne bouleverse pas son autonomie. En le soumettant à une batterie de tests (Work 3) reproduisant une activité bureautique classique, l’accumulateur parvient de frôler les 16h d’autonomie.

C’est beaucoup mieux que le Realme C55, jusqu’à présent notre record sur cette gamme. A défaut d’avoir une motorisation puissante, elle a le mérite de consommer peu. Le téléphone fonctionnant avec un taux dynamique de rafraichissement de sa dalle, on peut encore grappiller quelques minutes en le bloquant sur 60 Hz et en activant le mode économie d’énergie. Pour les grands bavards, les téléphones professionnels, c’est donc un téléphone parfaitement adapté.

Pour la charge de la batterie, le constructeur s’est contenté d’un câble USB type A vers USB type C. Au moins, on pourra réutiliser ses « vieux » chargeurs, démunis de port USB-C. Contrairement au Poco C65 ou Motorola G34 5G, Xiaomi a fait l’économie du chargeur, copiant Samsung, mais dérogeant à la tradition de l’entrée de gamme. Le fabricant assure que le Redmi 14C supporte une charge « rapide » de 18 Watts. C’est faible. C’est aussi bien qu’un Poco C65, mais ça demeure moins puissant qu’un Samsung… c’est dire !

En 10 minutes, la batterie du téléphone gagne 10% de sa capacité. La recharge complète nécessite 1 heure 50 minutes avec un chargeur 25 Whatt. C’est une vitesse de charge lente, mais comparable à la plupart de ses concurrents. Seul le Realme C55 fait mieux mais il est fourni avec un chargeur beaucoup plus puissant.

Charge rapide (25 W non fourni) :

  • 0 minute : 0 %
  • 5 minutes : 5 %
  • 10 minutes : 11 %
  • 20 minutes : 22 %
  • 30 minutes : 31 %
  • 40 minutes : 42 %
  • 50 minutes : 52 %
  • 1 heure : 66 %
  • 1 heure 30 : 90 %
  • 1 heures 50 : 100 %

Photo et vidéo

Sur un téléphone à moins de 160 euros, on ne s’attend pas à obtenir des clichés incroyables, rivalisant avec des appareils 2 ou trois fois plus cher. On assure le service minimum car le module photo coute cher et avale désormais une grosse partie de puissance de calcul. On fait l’impasse sur un module ultra grand-angle. Le capteur photo enregistre des pixels mais les processeurs produisent véritablement l’image. Avec un SoC Mediatek G81, qui nous a démoralisés… le jugement de la partie photo vidéo risque d’être « compliquée ».

Voici les caractéristiques détaillées :

  • Un capteur principal de 50 mégapixels avec une ouverture de f/1.8, non stabilisé, proposant un zoom numérique allant jusqu'à 10x.
  • Un capteur « auxiliaire ».
  • Un capteur selfie de 13 mégapixels avec une ouverture f/2.

Cette dotation vous rappelle quelque chose ? C’est normal, c’est la même que sur le Redmi 13C ! Certes, le constructeur apporter un peu de nouveauté puisque le capteur (inutile) macro de 2 mégapixels du Redmi 13C est devenu un « capteur auxiliaire » (sic). On rigole, mais ce capteur permet tout de même de créer la profondeur en mode portrait ou en tilt-shifting. Quoiqu’il en soit le mode « macro » a disparu du menu du Redmi 14C.

Est-ce que ce module photo est meilleur que la génération précédente. Réponse immédiate non. Les mêmes causes produisent les mêmes effets. Ainsi, en zoom 1x, l’image est déjà trop saturée et manque de contraste. Au moins, le traitement numérique de lisse pas les détails avec d’énormes aplats de couleurs. Mais avec un écart lumineux important, comme souvent entre ciel et sol, l’algorithme perd les pédales.

En montant en niveau de zoom, les faiblesses sont de plus en plus flagrantes. En 4x, le duo capteur/SoC est à genoux et dépose les armes. L’anti-crénelage recouvre les détails. La nuance n’a plus sa place. On peut faire le deuil de la netteté, du détail, du contraste et des couleurs réalistes. On dirait que l’on regarde une série des années 80 sur un ultra haute définition… Etrangement en 10x, avec moins de données à gérer, l’image retrouve un peu de contraste, mais la netteté a disparu. RIP. De nuit, les images sont difficilement exploitables au-delà du zoom 2x.

Si l’on fait abstraction de la saturation des couleurs, les autres téléphones actuels de cette gamme de prix font mieux que le Redmi 14C. Sans surprise, Samsung se débrouille le mieux sur le Galaxy A15 mais aussi le modeste A05s. D’autant plus que Redmi se contente de proposer des filtres numériques pour agrémenter les clichés. Il n’existe pas de mode panoramique. La seule fantaisie permise est le mode tilt-shifting (objectif décentré), de manière rectiligne ou circulaire.

Comme beaucoup de téléphones bénéficiant d’un gros capteur, le Redmi 14C exploite le pixel binning. A partir d’un composant capturant 50 millions de pixels, le téléphone produit des clichés de 13 millions de pixels. Avec cette astuce d’ingénieur d’utiliser 4 pixels matériels pour en générer 1 seul effectif, on gagne normalement en luminosité. La différence est visible mais pas incroyable. Le smartphone est plombé par un SoC asthmatique. Les vidéos de jour sont acceptables même si l’absence de stabilisation optique ou numérique plombe le résultat. La nuit, c'est une autre histoire.

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Note finale du test : Xiaomi Redmi 14C

Difficile d’être sévère avec un téléphone à moins de 160 euros. Oui, il n’est pas rapide, oui l’écran peut laisser à désirer, oui les photos sont loin d’être bonnes, surtout en zoom ou de nuit. Pourtant, il a une autonomie record alors qu’il possède le plus grand écran de cette gamme. Pour ne rien gâcher, il est beau et bien fini. Le Xiaomi Redmi 14C constitue le téléphone parfait pour le boulot ou même pour soi quand on ne veut pas se priver ailleurs.


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